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La gare de Ville Mont-Royal en 1952

Détails
HISTOIRE
Publication : 30 mars 2022
Par Julie Turgeon

Le pionnier du photojournalisme au Québec, Conrad Poirier, a immortalisé ce moment en 1952, à la gare de Ville Mont-Royal, où des voyageurs descendent du train de banlieue.

PHOTO COURTOISIE ARCHIVES VILLE DE MONT-ROYAL

C’est le projet fou de forage d'un tunnel sous le mont Royal par la Canadian Northern Railway, qui a donné naissance à la cité-jardin au début du 20e siècle, alors que cette dernière vendait les terres de l’actuelle Mont-Royal pour financer ses travaux. Le premier métro léger automatisé du Réseau express métropolitain (REM) à Ville Mont-Royal devrait commencer à circuler à l’automne 2023, soit 105 ans après le premier train à traverser ce tunnel de 5,3 km creusé sous le mont Royal.



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La gare de Ville Mont-Royal en 1952

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HISTOIRE
Publication : 30 mars 2022
Par Julie Turgeon

Le pionnier du photojournalisme au Québec, Conrad Poirier, a immortalisé ce moment en 1952, à la gare de Ville Mont-Royal, où des voyageurs descendent du train de banlieue. [ + ]

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Le boulevard de l’Acadie en archives

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HISTOIRE
Publication : 17 décembre 2021
Par Julie Turgeon

La question du boulevard de l’Acadie, et de sa clôture séparant du nord au sud le quartier Parc-Extension de la Ville de Mont-Royal, s’est invitée dans la dernière campagne électorale municipale. L’occasion de revisiter le sujet de cette artère, qui, avant de devenir l’un des boulevards les plus fréquentés de la métropole, a d’abord été l’avenue McEachran; une rue rue plutôt paisible, voire maraîchère, à l’époque. On vous la fait découvrir en images.

  • Devant le 7275 avenue McEachran vers 1956. Ville Mont-Royal est à droite sur la photo. Les trois garçons sont Mike Mahoney, Bobby Boa et John Semeniuk. PHOTOS SOCIETE D’HISTOIRE DE PARC-EXTENSION
  • Autour de 1940. Une femme, nommée Mabel Brisson, est accroupie dans un Jardin de la victoire situé au coin nord-est de la rue Jean-Talon et de l’avenue McEachran. Les Jardins de la victoire, appelés également « jardins de guerre » étaient des potagers cultivés, souvent dans des parcs publics, pendant la Première et la Seconde Guerre mondiale. PHOTOS SOCIETE D’HISTOIRE DE PARC-EXTENSION
  • C'est dans le même jardin, voire un champ de maïs ici, que Vera et Joseph Brisson, accueillent les sœurs Marsh, en visite de Gaspé. PHOTOS SOCIETE D’HISTOIRE DE PARC-EXTENSION
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Ce qui a été dit pendant la campagne
En novembre dernier, le parti Ensemble Montréal a déclaré qu’il songeait faire tomber la clôture longeant le boulevard de l’Acadie et réaménager ce dernier afin qu’il soit plus « vert » et « sécuritaire ». L’annonce a fait du bruit. Or, il n’en sera rien. Du moins, pour l’instant. Puisque cette promesse a été faite par le candidat défait à la mairie de Montréal, Denis Coderre.

Fait intéressant tout de même. On apprenait alors dans un reportage de Radio-Canada que les villes de Montréal et de Mont-Royal ne s’entendent pas sur les lignes de démarcation du boulevard. De son côté, Montréal affirme que « la très grande majorité du boulevard de l’Acadie (incluant la quasi-totalité des voies de circulation et le terre-plein central) est sur le territoire de Ville Mont-Royal », tandis que de l’autre, on assure que seule « la voie la plus près de VMR », appartient à Mont-Royal.

« Ce qu’il faut retenir, explique le porte-parole de Ville Mont-Royal, Alain Côté, est que peu importe où la ligne de propriété a été tracée à l’époque, c’est la Ville de Montréal qui s’est toujours occupée de toutes les voies, que ce soit pour les réparations et la reconfiguration de la chaussée et du terre-plein, les feux de circulation ou le déneigement. »



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Le boulevard de l’Acadie en archives

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HISTOIRE
Publication : 17 décembre 2021
Par Julie Turgeon

La question du boulevard de l’Acadie, et de sa clôture séparant du nord au sud le quartier Parc-Extension de la Ville de Mont-Royal, s’est invitée dans la dernière campagne électorale municipale. [ + ]

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Une visite royale

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HISTOIRE
Publication : 17 mars 2021

To read this article in English, click here!

L’excellente série « The Crown » nous a fait connaître certains membres de la famille royale, dont l’un d’entre eux, Édouard VIII, fera une courte visite à Ville Mont-Royal. Voici ce qu’on peut lire dans le très beau livre « Le cadeau royal » de John Kalbfleisch.

PHOTOS ARCHIVES

« Mont-Royal n’a pas encore sa devise, Regium donum (elle ne sera adoptée qu’en 1944), mais l’attachement des citoyens à la monarchie ces années-là est indéfectible. L’excitation est à son comble lorsqu’on apprend que le prince de Galles, le futur roi Édouard VIII, traversera la ville le 1er août 1927. Le prince doit être accompagné de son plus jeune frère, le prince George (à ne pas confondre avec un autre frère, le prince Albert, qui sera plus tard le roi George VI). Les deux princes doivent venir au Canada participer aux célébrations entourant le jubilé de diamant de la Confédération, mais ils aimeraient, ce jour-là, jouer une ronde de golf au club de Laval-sur-le-lac. Leur itinéraire est publié dans tous les journaux; comme ils devaient traverser Mont-Royal, les résidents s’assemblent longtemps d’avance en vue de les acclamer. Or non seulement les princes troquent-ils la décapotable prévue pour un taxi couvert, mais ils empruntent une autre route, plus directe. (…) L’auto du prince passa par un chemin à l’ouest de Model City ».



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Une visite royale

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HISTOIRE
Publication : 17 mars 2021

L’excellente série « The Crown » nous a fait connaître certains membres de la famille royale, dont l’un d’entre eux, Édouard VIII, fera une courte visite à Ville Mont-Royal. Voici ce qu’on peut lire dans le très beau livre « Le cadeau royal » de John Kalbfleisch. [...]

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La vision de F.G. Todd

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HISTOIRE
Publication : 4 décembre 2020
Par Julie Turgeon

Note : ce texte a déjà paru dans l’édition Printemps 2020 du journal Station Mont-Royal. Comme la distribution du journal a été interrompue au plus fort de la pandémie et que nous estimons l’article de grande qualité historique mais aussi proche de l’actualité monteroise, nous nous permettons de le reproduire ici.

On a longtemps répété que Ville Mont-Royal, à la fois cité modèle, ville-satellite et banlieue-jardin, avait été imaginée par l’architecte-paysagiste, Frederick G. Todd, il y a plus de cent ans. C’est vrai, mais pas entièrement, a constaté Station Mont-Royal en épluchant des archives.

Né au New Hampshire, Frederick G. Todd (1876–1948), dit le premier architecte-paysagiste au Canada, a pris ce titre de son mentor, le réputé Frederick Law Olmsted. Celui à qui l’on doit le Central Park à New York, et le parc du mont Royal, à Montréal. En fait, on dit que les projets sur la montagne, d’abord confiés à Olmsted, serait la raison pourquoi Todd aurait fait de Montréal sa terre d’accueil en 1900. Il signera par ailleurs le plan du lac aux Castors quelques années plus tard, ainsi que celui du parc de l’île Sainte-Hélène. Or, sa griffe est vraiment un peu partout au pays. Mais plusieurs experts s’entendent pour dire que son « collier de parcs » à Ville Mont-Royal est de loin, l’un de ses plus beaux legs.
todd2Ville Mont-Royal a été conçue au début du siècle dernier comme une entreprise immobilière pour financer, en partie, la construction du tunnel sous le mont Royal. PHOTOS STATION MONT-ROYAL ARCHIVES

Le maire de Ville Mont-Royal, Philippe Roy, aime souvent raconter l’anecdote que lorsque les résidants de sa ville se rencontrent, l’une des premières questions qu’ils se posent c’est : habites-tu à l’est ou à l’ouest? Il l’avoue lui-même, il caresse depuis longtemps le rêve « de trouver une façon de recouvrir la voie ferrée et créer un lien (outre les deux ponts actuels), pour vraiment unifier l’est et l’ouest. » Avec sa nouvelle « place citoyenne », annoncée récemment, il pourra d’ailleurs bientôt dire: dream come true, comme le veut l’expression. « Cette nouvelle place publique, c’est quelque chose d’historique pour Ville Mont-Royal ! », s’enthousiasme-t-il.

Or, la question qui a mené à écrire cet article, c’est justement: pourquoi un architecte-paysagiste à la vision si harmonieuse et progressiste des choses tel que Frederick Todd, a-t-il pu sciemment planifier le développement d’une cité autour d’un chemin de fer déjà existant – et qui passe au centre de la ville – de sorte que cela la scinde en deux, et d’un centre-ville construit autour d’une gare ? La décision vient-elle vraiment de lui ?

« Pour y répondre, il faut se remettre dans le contexte de l’époque », répond le professeur en urbanisme et design urbain, de l’Université du Québec à Montréal, François Racine. « Au début du 20e siècle, les planificateurs en urbanisme imaginent des villes-satellites, où l’on peut mettre les gens dans un cadre plus naturel. Une espèce de retour à la nature, loin de la pollution. »

« Todd est un peu dans cette mouvance-là, des cités-jardins, mais il le traduit à sa façon », indique M. Racine. « Parce que son client, ce n’est pas une ville, mais une compagnie ferroviaire. Donc au contraire des faubourgs de l’époque, qui construisent la voie ferrée habituellement à la limite de l’urbanisation, ou qui ceinture la trame urbaine, ce dernier va mettre la station de train en plein coeur du développement de la ville », affirme-t-il.

À la lumière de documents d’archives cependant, cette idée d’une ville où tout converge vers la gare, ne viendrait pourtant pas nécessairement de Todd, quoiqu’on le soutenait aussi à l’époque.

Retour sur l’opération foncière
Au début du 20e siècle, les compagnies ferroviaires du Canada sont prêtes à tout pour raccorder leur réseau de transport, coast to coast. C’est le cas des promoteurs du Canadian Northern Railway (CNoR), Mackenzie, Mann and Company.

« Ils sont même allés jusqu’à acheter et posséder le Journal La Presse, de 1904 à 1906, comme outil de persuasion pour amener le CNoR à Montréal », raconte le professeur de géographie de l’Université de Victoria, L.D. McCann, dans son étude Planification et construction de la banlieue corporative de Mont-Royal, 1910-1925.

Bref, comme on le sait, Ville Mont-Royal a été conçue à la fin de 1910 comme une entreprise immobilière pour financer, en partie, la construction du tunnel sous le mont Royal — une affaire de 5 millions de dollars. En fait, les promoteurs du train qui avaient mis la main sur les terres agricoles situées l’autre bord de la montagne, avaient vendu ces terrains comme des petits pains chauds à l’époque. « Plus d’un million de dollars de lots ont été vendus », le premier jour, peut-on lire dans le journal La Patrie du samedi 12 avril 1912. La promesse aux habitants de cette nouvelle ville, d’avoir un accès direct en train vers le centre-ville de Montréal en moins de dix minutes, avait eu l’effet escompté.

Il faut dire aussi que les promoteurs ne lésinaient pas sur la publicité. « Tous les trains qui passeront par le tunnel seront à traction électrique de manière à éviter aux habitants de la Ville-Modèle la poussière, la fumée et le bruit », écrivait-on. En ajoutant que la « future cité » a été préparée d’après « les plans entiers » de Frederick Todd. « Ces plans très étudiés et détaillés sont conformes aux idées les plus modernes et les plus avancées », laissait-on savoir.

D’après les plans « entiers » de Frederick Todd ?
Pour être juste, il faudrait retirer le mot « entiers » de leur publicité. En tout cas, d’après le professeur McCann, cité plus haut. Frederick Todd n’a pas préparé l’entièreté du plan de la ville. Même qu’il est plutôt parti d’une esquisse du premier maire de la ville, Thomas Darling, pour élaborer la suite de la cité-jardin.

« On ne sait pas précisément quand ni comment Frederick Todd a été embauché pour travailler sur la conception de Ville Mont-Royal. Ni quelles instructions spécifiques lui a données la compagnie ferroviaire pour améliorer le plan « quadrillé et diagonal » de Thomas Darling », écrit l’expert. « Les documents d’archives sont muets sur ces questions. »

Le professeur de la Faculté d’aménagement de l’Université de Montréal, Peter Jacobs, avance quant à lui, sensiblement la même chose, dans une autre étude. Soit que « Frederick Todd s’est vu confier la conception de la Ville, mais non pas avant que l’ingénieur en chef de la compagnie ferroviaire et le premier maire de la ville aient établi la forme originale de la cité modèle. C’est-à-dire l’axe diagonal des deux boulevards, divisé par la ligne de chemin de fer, et la gare en son centre. »

Rappelons que Thomas Darling, élu maire de Mont-Royal de façon continue de 1913 à 1934, était apparenté par mariage au colonel AR Davidson (l’un des principaux agents de la société foncière de Mackenzie, Mann), et qu’il y était actionnaire.

L’un des deux auteurs des études dénote cependant que, « bien que Todd ait conservé le plan de base (ou plus précisément, qu’il ait dû le faire en raison des accords préliminaires de la société foncière des promoteurs du train), il a néanmoins amélioré l’orientation des rues en direction vers le soleil. »

L’architecte « a travaillé et retravaillé la disposition des rues et des terrains de la « ville modèle » de façon à ce que cela correspondre à sa vision », soulève-t-on.

Par sa vision, le professeur Peter Jacobs, entend notamment sa préoccupation à intégrer la nature en ville, comme l’illustre sa Place Connaught au centre-ville, ainsi que son trait de génie d’un « collier de parcs » à travers la ville. Soit sa contribution la plus importante à la ville, selon lui, et plusieurs autres experts.

Né au New Hampshire, Frederick G. Todd (1876–1948), dit le premier architecte-paysagiste au Canada, a pris ce titre de son mentor, le réputé Frederick Law Olmsted. Celui à qui l’on doit le Central Park à New York, et le parc du mont Royal, à Montréal. En fait, on dit que les projets sur la montagne, d’abord confiés à Olmsted, serait la raison pourquoi Todd aurait fait de Montréal sa terre d’accueil en 1900. Il signera par ailleurs le plan du lac aux Castors quelques années plus tard, ainsi que celui du parc de l’île Sainte-Hélène. Or, sa griffe est vraiment un peu partout au pays. Mais plusieurs experts s’entendent pour dire que son « collier de parcs » à Ville Mont-Royal est de loin, l’un de ses plus beaux legs.



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La vision de F.G. Todd

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HISTOIRE
Publication : 4 décembre 2020
Par Julie Turgeon

On a longtemps répété que Ville Mont-Royal, à la fois cité modèle, ville-satellite et banlieue-jardin, avait été imaginée par l’architecte-paysagiste, Frederick G. Todd, il y a plus de cent ans. C’est vrai, mais pas entièrement, [...]

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Les armoiries, qu’est-ce que ça signifie ?

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HISTOIRE
Publication : 5 décembre 2019

Avec l’autorisation de la Ville de Mont-Royal, nous reproduisons ici un extrait tiré du site internet de la municipalité, ville.mont-royal.qc.ca

PHOTOS COURTOISIE VILLE DE MONT-ROYAL

Les armoiries de la cité-jardin se composent de plusieurs éléments significatifs.

• La couronne royale, d’origine française, est fermée sur le dessus et ornée de fleurons.
• Les deux roses héraldiques, de provenance anglaise, sont de type églantine à deux rangées de cinq pétales et séparées par des sépales en pointe.
• La montagne stylisée représente la situation géographique de la municipalité, soit au pied du mont Royal.
• La silhouette en accolade de l’écu, se terminant par une pointe, rappelle la forme d’un bouclier de l’Antiquité.
• La devise, Regium Donum, figure sur le listel en bordure de l’écu et signifie « don du roi ».

Toutes ces composantes forment les armoiries de la municipalité. La signature officielle de la ville de Mont-Royal comprend les armoiries ainsi que les dénominations française et anglaise. Les armoiries ont évolué au fil du temps: dans leur version actuelle, elles datent de 1993.



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Les armoiries, qu’est-ce que ça signifie ?

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HISTOIRE
Publication : 5 décembre 2019

Avec l’autorisation de la Ville de Mont-Royal, nous reproduisons ici un extrait tiré du site internet de la municipalité, ville.mont-royal.qc.ca [...]

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Station Mont-Royal est un journal hebdo en ligne traitant d'actualités et de cultures pour la communauté de Ville de Mont-Royal.

Une publication papier trimestrielle est distribuée à chaque porte de la Ville de Mont-Royal.

 

Éditeur :René Soudre
Assistante-éditrice : Hélène Côté
Collaborateurs : Julie Turgeon, Viktor Lavoie, Emmanuelle Beaubien, Carla Geib
Photos : Marili Soudre-Lavoie
Administration : Hélène Lavoie
Ventes : Marili Soudre-Lavoie, René Soudre

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