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Hier, Le TMR Shopping Centre, Aujourd'hui le carré Lucerne

Détails
HISTOIRE
Publication : 10 décembre 2018
Par Le Journal Station Mont-Royal

Le 8 mai 1956 se tenait l’ouverture officielle du centre commercial de Ville Mont-Royal, devenu aujourd’hui le Carré Lucerne, propriété de la société First Capital Realty. Un véritable jour de fête. Feux d’artifice compris.

Le centre commercial de Ville Mont-Royal, aussi connu comme « TMR Shopping Center », s’est construit en neuf mois, au coût de deux millions de dollars, par le constructeur Louis Donolo, et d’après les dessins des architectes Thibodeau & Thibodeau. C’est Marc Donolo, président de Circle developments, qui en est en ce temps-là propriétaire. Les journaux de l’époque parlent alors de son établissement comme d’un endroit ultramoderne, familial…et où il fait bon venir magasiner.

Ils font notamment référence au vaste parc de stationnement, pouvant accueillir un peu plus de 500 automobiles. Mais aussi au fait que l’espace commercial de 64 000 pi2 (en plus de 37 000pi² de bureaux aménagés au premier étage) est niché tout près de l’autoroute 40. Soit, la localisation idéale pour desservir les résidants de Ville Mont-Royal, Ville Saint-Laurent, et des autres secteurs du nord-ouest de l’île.

Une plongée dans les publicités de 1956 nous permet de découvrir que l’on avait mis le paquet pour la journée d’ouverture du « centre d’achats ». Alors que les enfants étaient servis à souhait avec bonbons, clowns et un petit zoo, les plus grands, eux, participaient à un tirage, dont le grand prix était une voiture américaine de l’année: un Rambler 1956. Un cent gallons d’essence faisait aussi partie des lots à gagner. La fermeture du centre commercial avait eu lieu à 22h ce mardi-là, après que des feux d’artifice eurent éclairé le ciel de la ville.

Le 16 août suivant, l’heure était encore à la passion automobile au centre commercial de Ville Mont-Royal, avec une exposition de voitures de sport de 15 compagnies manufacturières différentes. L’événement coïncidait de surcroît avec l’inauguration d’une campagne de sécurité routière des Chevaliers de Pythias… « There is always something happening at the TMR Shopping Centre », peut-on lire dans les pages du TMR Weekly Post, à ce moment-là.

Le centre commercial de Ville Mont-Royal comptait 22 commerces en 1956, On y trouvait notamment le supermarché Dominion (le 2e en ville, puisque le premier était sur Canora); la quincaillerie Modelectric, appartenant à un résidant local; le salon de barbier Ménard; la maison de beauté Georges de Deauville; le nettoyeur Town and Country; la pharmacie Chas Laurin; la bijouterie Lombardi; les bonbons Mary Lee; les confiseries Herbert’s; le magasin de livres et jouets Fernley’s; la boutique de lingerie Charbonneau; la boutique Town Art Centre; ainsi qu’une banque Nova Scotia, un débit de tabac United Cigar Store, une boutique D’Allaird’s et d’autres encore… comme le nostalgique restaurant Murray’s.

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Le carré Lucerne est aujourd’hui l’un des principaux pôles commerciaux de la Ville de Mont-Royal avec une foule de bannières connues de tous. PHOTOS JOURNAL STATION MONT-ROYAL



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Hier, Le TMR Shopping Centre, Aujourd'hui le carré Lucerne

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HISTOIRE
Publication : 10 décembre 2018
Par Le Journal Station Mont-Royal

Le 8 mai 1956 se tenait l’ouverture officielle du centre commercial de Ville Mont-Royal, devenu aujourd’hui le Carré Lucerne, propriété de la société First Capital Realty. Un véritable jour de fête. Feux d’artifice compris. [...]

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LE ROSE GARDEN, IL Y A 60 ANS

Détails
HISTOIRE
Publication : 14 juin 2018
Par Julie Turgeon

PHOTOS ARCHIVES DE VILLE MONT-ROYAL ET JOURNAL STATION MONT-ROYAL

Il y a 60 ans, naissait au coeur de la ville un magnifique repaire de roses, mieux connu aujourd’hui sous le nom de roseraie Pierre-Elliott-Trudeau. La Société d’horticulture de Ville Mont-Royal— qui en a fait don à la ville à l’époque, n’avait que pour seul objectif « d’ajouter de la beauté » à la cité-jardin, rapportait le Weekly Post, après l’inauguration en 1958.

Ernest Burchell Jubien, un conseiller municipal de 1947 à 1949, et ancien président de la Société d’horticulture de Ville Mont-Royal, est celui à qui l’on doit le succès de ce trésor culturel. Du moins, en large partie.

Dans un livret de six pages, nommé A community Rose Garden, daté de 1959, ce dernier relate pas mal à un détail près la petite histoire de cette roseraie. À commencer par le choix de son emplacement, dans le parc Connaught. Un endroit « utilisé comme pépinière dans les jeunes années du développement de la ville. »

En avril 1957, alors que M. Louis Perron, un architecte paysagiste, est engagé par la Ville pour réaliser les plans du jardin, plus de 2000 rosiers de différentes variétés sont prévus sortir de terre. Mais vu la contrainte de temps, M. Jubien en décide autrement.

Que 1200 rosiers pour commencer; et la balance des 800 autres l’année d’après. Une bonne idée somme toute. Puisque le test du premier été, et du premier hiver, surtout, restait tout de même à passer.

Selon le récit, à part quelques pucerons ici et là, le premier été de la roseraie s’était assez bien passé. Même chose pour ce « very severe winter » de 1957-58. De fait, pas un rosier, pas un seul des 1200 rosiers, n’y a succombé.

Une petite victoire donc, pour ce comité permanent du Rose Garden, qui, avec toutes leurs ressources et connaissances— sur la culture de la rose convenant au climat québécois notamment, avait assuré un maximum de vigilance.

L’été 1958, en revanche, alors que l’on procédait à des applications de pesticides sur une base hebdomadaire, une sévère infestation de spores s’était manifestée à la fin juillet; en plus d’une attaque de mildiou, début septembre. Des maladies que M. Jubien s’expliquait alors par la « venue de nouveaux buissons plantés ce printemps-là. »

Il faut dire que la question portant sur les avantages des différents porte-greffes utilisés dans le jardin, semait particulièrement la controverse parmi les rosiéristes à l’époque, à la lumière des écrits de M. Jubien.

« La majorité des Hybrid Tea plantés dans ce jardin ont été greffés à des canina [plus connu sous le nom d’églantier]; tandis qu’en 1958, on a aussi utilisé un peu de multiflora. (…) Il serait extrêmement intéressant de voir les résultats de ça dans les années futures », laissait-il savoir.

La Ville fait une fleur à la famille Trudeau
Le 17 septembre 1984, alors que le Premier ministre du Canada quitte la vie politique active cette année-là, la Ville de Mont-Royal souhaite reconnaitre le service rendu par le très honorable Pierre Elliott Trudeau (1919-2000).

À titre de premier ministre du Canada durant 16 ans (d'avril 1968 à juin 1979 et de mars 1980 à juin 1984), et de député de Mont-Royal pendant 19 ans (de 1965 à 1984), le conseil de ville nomme non seulement en son honneur la roseraie Pierre Elliot-Trudeau, mais décide aussi, que, lui seul, sera autorisé à cueillir des roses pour son usage personnel, nonobstant tout règlement interdisant le prélèvement de fleurs dans les jardins publics.

À savoir maintenant si ce privilège se poursuit, Alain Côté, de la division des Affaires publiques, répond que « bien qu’à l’époque, la résolution du conseil s’adressait à M. Trudeau père (on se rappelle qu’il aimait bien porter la fleur à la boutonnière…) et compte-tenu de la belle relation qu’entretient la Ville avec la famille, c’est avec plaisir que M. Justin Trudeau pourra cueillir des roses pour son usage personnel dans la roseraie. »

Rappelons que le 14 juin 2007, à la mémoire de M. Michel Trudeau, le fils de Pierre-Elliott Trudeau, décédé lors d’une avalanche en 1998, la famille Trudeau a offert cinq rosiers destinés à la roseraie, en présence des deux autres frères, Justin et Alexandre.

Cette variété de rose rosa rugosa « Michel Trudeau », est le résultat du hasard, apparu au cours de l’été 1999, d’un semis du jardin de l’une de ses tantes.

  • Le dévoilement officiel de la plaque de la roseraie en présence de M. Trudeau s’est déroulé le 23 août 1985.
  • Le 6 juillet 1958, en l’absence du maire Reginald-J.-P.-Dawson, le maire suppléant, James T. Bain, coupe le ruban d’inauguration de la roseraie du parc Connaught.
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LE ROSE GARDEN, IL Y A 60 ANS

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HISTOIRE
Publication : 14 juin 2018
Par Julie Turgeon

Il y a 60 ans, naissait au coeur de la ville un magnifique repaire de roses, mieux connu aujourd’hui sous le nom de roseraie Pierre-Elliott-Trudeau. La Société d’horticulture de Ville Mont-Royal— qui en a fait don à la ville à l’époque, n’avait que pour seul objectif [...]

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IL Y A 60 ANS, ROCKLAND OUVRAIT SES PORTES

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HISTOIRE
Publication : 23 mars 2018
Par Julie Turgeon

L’inspiration lui est venue à Paris, au Bon Marché, le premier grand magasin français à rayons. Une vraie révélation. Ciel, des rayons! Puis l’idée a fait son chemin. Au Canada, il a décidé de fonder la Henry Morgan and Company; l’entreprise derrière le magasin Morgan, devenu La Baie en 1960 [...]

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IL Y A 60 ANS, ROCKLAND OUVRAIT SES PORTES

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HISTOIRE
Publication : 23 mars 2018
Par Julie Turgeon

PHOTOS ARCHIVES CENTRE ROCKLAND

L’inspiration lui est venue à Paris, au Bon Marché, le premier grand magasin français à rayons. Une vraie révélation. Ciel, des rayons! Puis l’idée a fait son chemin. Au Canada, il a décidé de fonder la Henry Morgan and Company; l’entreprise derrière le magasin Morgan, devenu La Baie en 1960, avec le rachat. Puis Henry Morgan, Écossais d’origine, décède en 1893. Mais l’entreprise familiale est vite devenue typiquement montréalaise, et a perduré pendant quatre générations de Morgan. Quand Henry II lançat son projet du Centre Rockland– appelé plutôt le Morgan Shopping Centre à l’époque, cela fit beaucoup de bruit en ville!

Au début septembre 1955, l’idée d’ériger un centre commercial dans la section de la ville où se trouve un terrain de golf de 18 trous, progresse. L’enjeu principal est le re-zonage de quelque 750 000 pieds carrés de terrain. Les citoyens veulent en discuter. On organise donc une rencontre à cet effet. Une rencontre qui se voudra alors historique. La scène est décrite sous la plume de Jos Ledden dans le Weekly Post, comme « un décor dramatique qui aurait fait honneur à une première d’Hollywood », tellement il y avait foule (« facilement plus de 500 personnes ») et de projecteurs.

En effet, depuis la salle d’audience municipale qui ne suffisait plus, à la salle Royalmount de la mairie, la réunion avait dû se conclure au Schofield Hall, l’auditorium principal du bâtiment, pour accueillir tout le monde. Au micro ce jour-là, les résidents se disaient préoccupés par la portée du projet; les questions soulevées avaient trait à leur quiétude, au trafic, à la sécurité des enfants. Puis au final, c’est l’idée même d’un référendum pour vider la question qui était sur la table.

Calmer le jeu
À la fin septembre 1955, le président de la firme, Bartlett Morgan, se voulait rassurant, et avait alors convié une conférence de presse, avec un expert du trafic entre autres, M. Ewart, mais aussi le directeur exécutif de l’American Society of Planning, M. O’Harrow de Chicago. Quelques jours plus tard, le conseil municipal décidait alors d’annuler le veto du maire sur l’approbation d’un possible référendum.

Le 21 octobre, « sans discussion aucune », le conseil municipal votait à l’unanimité le règlement contentieux 400, permettant ainsi de modifier le zonage du terrain de golf, selon ce que rapporte le Weekly Post. Les jeux étaient faits! En 1958, les plans pour le centre commercial ont été approuvés; le terrain de golf a fermé. Puis douze mois après, Rockland, qui était toujours en construction, a ouvert ses portes à la mi-août 1959.

Le centre construit d’après les plans de l’architecte Victor Prus, accueillait alors une quarantaine de boutiques et départements. Un magasin Morgan, bien sûr, mais aussi un supermarché Steinberg’s, un Laura Secord, des enseignes comme Holt Renfrew et Reitman’s et Handy Andy, ainsi que la librairie Classic’s Little books, dite la plus grande librairie au Canada consacrée uniquement à la vente de livres, selon leur publicité de l’époque. Après trois phases de rénovations; une majeure en 1983, une autre en 2005, et une présentement en cours, Rockland, propriété de Cominar, compte aujourd’hui près de 170 boutiques réparties sur trois étages, avec notamment plusieurs boutiques prestigieuses de designer.

  • Rockland
    Sur cette photo, il semble qu'à cette époque, les automobilistes n'étaient pas très respecteux des consignes de stationnement.
  • Rockland
    Parade de mode en plein air au Centre Rockland (circa 1960).
  • Rockland
    Une autre heureuse gagnante d'un montant de 300 $ au tirage hebdomadaire du vendredi soir au Centre Rockland, au début des années soixante.
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LE LIVRE D’OR FÊTE SES 70 ANS

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HISTOIRE
Publication : 6 février 2018

Connaissez-vous le livre d’or de Mont-Royal? Utilisé avec parcimonie, réservé aux grandes occasions mais non exclusivement aux dignitaires, le livre d’or peut être aperçu et consulté à quelques reprises seulement, durant l’année. Il témoigne, dans tous les cas, du prestige d’une activité [...]

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LE LIVRE D’OR FÊTE SES 70 ANS

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HISTOIRE
Publication : 6 février 2018

Tiré du magazine Info Ville de Mont-Royal Janvier 2018

Connaissez-vous le livre d’or de Mont-Royal? Utilisé avec parcimonie, réservé aux grandes occasions mais non exclusivement aux dignitaires, le livre d’or peut être aperçu et consulté à quelques reprises seulement, durant l’année. Il témoigne, dans tous les cas, du prestige d’une activité de la Ville, ou de son importance historique.

PHOTO JOURNAL STATION MONT-ROYAL

Récemment, le livre d’or faisait partie de la cérémonie d’assermentation des membres du conseil municipal, à la suite de l’élection générale de l’automne dernier. Quelques semaines plus tôt, il récoltait les signatures des convives lors de l’inauguration de la murale extérieure de la bibliothèque jeunesse, réalisée en collaboration avec MU et Les Hommes de Lettres. Chaque année, il est présent pour la célébration du Cercle d’or, pendant laquelle des anniversaires de mariage et de naissance exceptionnels sont soulignés à l’hôtel de ville.

C’est en octobre 1948 que naissait le livre d’or, alors qu’on en signait les pages pour une première fois lors du dévoilement du cénotaphe de ce qui deviendrait le parc de la Paix. Ce n’est pourtant que plus tard que le livre serait assemblé sous la forme d’un imposant volume, mais ses toutes premières pages, disposées sur une table, consignaient déjà de précieuses signatures pour cet événement protocolaire. Le mois suivant, toujours en feuillets détachés, le futur livre d’or était de nouveau présent lors de l’inauguration de l’hôtel de ville. Le maire de l’époque, Richard Earle Schofield, et son épouse Isabel recevaient notamment pour l’occasion le maire de Montréal, Camillien Houde, et de nombreux autres invités de marque.

À ce moment-ci de son existence, le livre d’or de Mont-Royal n’est encore rempli qu’aux deux tiers. Si vous le croisez, ne manquez pas d’y ajouter votre propre signature! Votre nom y figurera aux côtés de ceux de personnalités ayant marqué de façon durable non seulement l’histoire de Mont-Royal, mais aussi la politique québécoise, canadienne ou parfois même, internationale.



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NOTRE HISTOIRE EN PHOTOS (volet 17)

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HISTOIRE
Publication : 9 octobre 2017

Cette capsule historique est rendue possible grâce à l’aimable collaboration du service des Archives de la Ville de Mont-Royal. [...]

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NOTRE HISTOIRE EN PHOTOS (volet 17)

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HISTOIRE
Publication : 9 octobre 2017

Cette capsule historique est rendue possible grâce à l’aimable collaboration du service des Archives de la Ville de Mont-Royal.

Le 27 janvier 1913, Thomas Darling préside la première assemblée du conseil municipal de Mont-Royal, dans la demeure d’un fermier, Cléophas Fortier, à l’intersection de l’actuelle avenue Walpole et du chemin Saint-Clare. Il n’existe pas d’hôtel de ville et les seules habitations sont celles d’agriculteurs comme Fortier. Ce n’est qu’en 1915 et 1917 qu’on voit les premières maisons neuves. – J. Kalbfleisch, auteur du livre Le Cadeau Royal. Photographie Archives Ville Mont-Royal.

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Éditeur :René Soudre
Assistante-éditrice : Hélène Côté
Collaborateurs : Julie Turgeon, Viktor Lavoie, Emmanuelle Beaubien, Carla Geib
Photos : Marili Soudre-Lavoie
Administration : Hélène Lavoie
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