Le Fou Fou arrive chez Royalmount

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Publication : 29 avril 2024

Par Le Journal Station Mont-Royal

Un espace de restauration et espace social avant-gardiste ouvrira en août 2024 dans le nouveau projet Royalmount.

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IMAGES COURTOISIE DE ZAK COMMUNICATIONS

Conçu comme un hall alimentaire à l'européenne, Le Fou Fou est le premier à Montréal à combiner talent, technologie de pointe et une programmation tout au long de l'année. Couvrant un espace de 35 000 pieds carrés, il comprend 12 offres culinaires distinctes, ainsi que quatre bars avec un espace de restauration intérieur/extérieur pouvant accueillir plus de 900 convives. Le partenaire exclusif en restauration interne, Traiteur Brera, accueillera des événements d'entreprise et privés.

Visant à être un pôle culturel, des événements sélectionnés tels que des expositions d'art et de la musique live attireront les invités pendant qu'ils savoureront les nombreux plaisirs de Le Fou Fou.

Mis en œuvre par le fondateur de MTB Collective, David Haas, en collaboration avec Carbonleo, Le Fou Fou représente une fusion harmonieuse d'expertise culinaire, d'innovation technologique et de révolution en termes d'hospitalité. Un tableau captivant de concepts gastronomiques distinctifs, d'espaces conviviaux et de technologie de pointe converge pour créer une expérience immersive qui transcende l'ordinaire.

Sous la direction de l'expert en halls alimentaires Jay Coldren, dont la carrière comprend des postes de direction chez Time Out Market, Dean & DeLuca, Edition Hotels et le réputé Inn at Little Washington, Le Fou Fou incarne l'innovation culinaire dans sa forme la plus pure. La liste de restaurateurs comprend des noms comme Tony Messina, lauréat du prix James Beard (Uni Boston), Hanhak Kim (du célèbre Bar Otto), Lenny Lighter et Peter Katsoudas (dans une collaboration unique entre les fondateurs rivaux de Moishes & Rib'N Reef Steakhouses), les frères Torres (Hogar Steakhouse), ainsi que d'autres talents culinaires à annoncer prochainement.

À propos du Royalmount
Royalmount est une nouvelle destination montréalaise située au cœur du Midtown. Il s'agira du premier projet à usage mixte 100 % carboneutre en Amérique ainsi que du plus grand développement de commerce de détail LEED Or au Canada. Royalmount comptera plus de 170 détaillants, y compris 60 restaurants. Conçu par la société de développement et de gestion immobilière Carbonleo, Royalmount proposera les meilleures marques, expériences et offres au marché québécois. La première phase consistera en un complexe de commerce au détail et de style de vie de 824 000 pieds carrés répartis sur deux niveaux. Le projet comprendra un parc linéaire surélevé de 3 km ainsi qu'un parc urbain de 1,8 hectare.

Le Fou Fou arrive chez Royalmount

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Publication : 29 avril 2024

Par Le Journal Station Mont-Royal

Démolition en vue pour le chalet du parc Mohawk

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Publication : 18 avril 2024

Par Julie Turgeon

Le chalet du parc Mohawk, dont la construction remonte à 1961, vit ses derniers jours. Sa rénovation n’est plus une option, selon la Ville, qui envisage désormais de le raser et de le reconstruire un peu plus loin dans le parc, entre deux terrains de tennis.

Selon le maire de Ville Mont-Royal, Peter Malouf, le chalet situé au 1050 chemin Dumfries est « vieux » et « en très mauvais état. » PHOTO STATION MONT-ROYAL ARCHIVES

La majorité des élus de Ville Mont-Royal ont voté en faveur de « l’amélioration du parc Mohawk », le 16 avril, en adoptant une résolution permettant d’aller en appels d’offres pour la construction d’un nouveau chalet, ainsi que pour le réaménagement de l’espace canin du parc.

Les conseillères municipales Caroline Decaluwe, Julie Halde, Maya Chammas et Maryam Kamali Nezhad se sont opposées à cette résolution.

Pour la conseillère du district n° 6, Caroline Decaluwe, « démolir le chalet plutôt que le rénover n’est pas souhaitable », s’est-elle exprimée. « Le projet coûtera très cher et, à mon avis, le moment n'est pas opportun puisque nous investissons déjà beaucoup de fonds publics dans trois projets majeurs », a-t-elle ajouté, en nommant le Centre sportif, la caserne de pompiers et les bâtiments administratifs du 10-20 Roosevelt.

Rappelons qu’en novembre 2022, les soumissions reçues pour la rénovation du chalet et l'ajout de mini-jeux au parc Mohawk avaient été rejetées par le conseil municipal, puisqu’il considérait que les prix soumis dépassaient largement le budget réservé par la Ville pour ce projet.

Le montant du plus bas soumissionnaire s’élevait alors à 5,2 M$ pour la réalisation de ces travaux; et le plus haut, à 6,5 M$.

Un chalet plus petit dans les cartons
Selon le maire de Ville Mont-Royal, Peter Malouf, le chalet situé au 1050 chemin Dumfries est « vieux » et « en très mauvais état. »

« Il y a un certain nombre de problèmes liés au bâtiment », « et ce n'est pas quelque chose qui est facile à rénover », a-t-il soutenu, en mentionnant qu’il faudrait par exemple décontaminer la place, parce qu’il y a un système de chauffage au mazout.

« Donc nous faisons des plans pour le relocaliser, et ainsi nous pourrons avoir un meilleur espace pour le parc canin », a-t-il commenté.

« Je ne peux pas encore vous donner de chiffre [sur les coûts de ce projet], car nous n’avons pas finalisé tout le plan », a dit le maire Malouf, en réponse à la question d’une citoyenne qui se demandait combien ce futur chantier pourrait approximativement coûter.

Or, dans le programme triennal d'immobilisations (PTI) 2024, adopté le 21 novembre 2023, la Ville projette une dépense de 1 M$ en 2025 pour la « mise à jour des équipements au parc Mohawk ». Soit la « construction d'un chalet plus petit correspondant aux besoins des usagers du parc », peut-on lire dans le descriptif. Les plans et devis pour ce projet sont, par ailleurs, annoncés en 2024, selon les prévisions de la Ville.

Démolition en vue pour le chalet du parc Mohawk

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Publication : 18 avril 2024

Par Julie Turgeon

Soirée d’information sur le Centre sportif et communautaire

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Publication : 15 avril 2024

D’après site web de la Ville de Mont-Royal

Une grande soirée d'information sur la mise à jour du projet du Centre sportif et communautaire aura lieu le 25 avril de 19 h à 20 h 30 à la salle Schofield de l’hôtel de ville.

IMAGE TIREE DU SITE WEB DE LA VILLE DE MONT-ROYAL

Pour cette occasion, le maire M. Peter J. Malouf, en présence des autres membres du conseil municipal, convie la population à une présentation sur l'avancée du projet de construction du Centre sportif et communautaire (CSC). M. Malouf sera accompagné par le directeur de projet, M. Jean-Pierre Richard, ainsi que par le directeur du Service des loisirs, M. Kevin Whitehall.

Ensemble, ils feront le point sur les caractéristiques de la version 2 du CSC, annoncée plus tôt par le conseil municipal, les nombreuses étapes franchies et celles à venir à propos de cette nouvelle installation au service des résidentes et des résidents. Les avantages de la réalisation du CSC en mode conception-construction y seront expliqués alors que des scénarios de financement et l'échéancier y seront également présentés.

Tous sont bienvenus, sans aucune réservation nécessaire. La soirée sera webdiffusée en direct pour les résidents qui ne pourront se déplacer en personne.

Pour en savoir plus sur le projet veuillez consulter la rubrique Centre sportif et communautaire ainsi que la page Quartier sportif et communautaire dans la section des Grands projets à la page d'accueil sur le site web de la Ville de Mont-Royal.

Soirée d'information sur le Centre sportif et communautaire
Jeudi 25 avril, de 19 h à 20 h 30
Salle Schofield de l'hôtel de ville, 90 avenue Roosevelt (voir carte)

Soirée d’information sur le Centre sportif et communautaire

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Publication : 15 avril 2024

Michelle Setlakwe et Peter Malouf à Québec

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Publication : 11 avril 2024

Communiqué Bureau de circonscription de Mont-Royal – Outremont

La députée de Mont-Royal – Outremont, Michelle Setlakwe, ainsi que le maire de Ville Mont-Royal, Peter Malouf, ont rencontré mercredi à l’Assemblée nationale du Québec la ministre Isabelle Charest, responsable du Sport, des Loisirs et du Plein air.

Isabelle Charest, ministre responsable du Sport, des Loisirs et du Plein air ; Peter Malouf, maire de Ville Mont-Royal, Michelle Setlakwe, députée de Mont-Royal – Outremont. PHOTO BUREAU DE CIRCONSCRIPTION DE MONT-ROYAL – OUTREMONT

Désireuse de sensibiliser la ministre à l’important dossier tant attendu de la construction du nouveau centre sportif et communautaire, la députée libérale de Mont-Royal–Outremont avait sollicité une rencontre avec la ministre Charest et le maire de Ville Mont-Royal.

Cette démarche s’inscrit dans un contexte où la Ville a déposé une demande de subvention en décembre 2023, suivie d’une lettre d’appui de la députée déposée en janvier 2024.

La demande de subvention de la Ville soumise dans le cadre du programme PAFIRSPA (Programme d’aide financière aux infrastructures sportives, récréatives et de plein air), afin d’appuyer en partie le financement du projet, est toujours sous étude auprès du ministère du Sport, des Loisirs et du Plein air et des réponses sont attendues autour de juin 2024.

« Cette rencontre est la continuité de mes différentes actions dans ce dossier qui me tient très à cœur et pour lequel je mets tout en œuvre pour qu’il se concrétise enfin. Je réitère à quel point le gouvernement du Québec est un partenaire essentiel à la réussite du projet. Les résidents de Ville Mont-Royal en attendent la réalisation depuis longtemps et méritent des installations qui répondent aux besoins de la communauté.
– Michelle Setlakwe, députée de Mont-Royal–Outremont

Michelle Setlakwe et Peter Malouf à Québec

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Publication : 11 avril 2024

Une pétition contre les voitures bruyantes

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Publication : 4 avril 2024

Par M. Benoît Grenier, av. Lazard

Avez-vous remarqué le son de plus en plus fort des moteurs et des pots d'échappement résonnant à tous les jours dans les rues de Ville Mont-Royal ?

Ne vous inquiétez pas. Cela n'est pas dû à une augmentation de la puissance des moteurs des véhicules, ni associé à une augmentation des émissions de gaz dans notre environnement. Bien au contraire, en fait.

La « nouvelle mode » des voitures bruyantes 
Des normes d'émissions de plus en plus strictes au Canada et dans le monde ont entraîné la réduction de la puissance des moteurs automobiles et l'adoption de technologies telles que la suralimentation et l'hybridation ayant pour conséquence d'améliorer l'efficacité énergétique des véhicules et d'en réduire les émissions. Ces mesures qui sont bénéfiques pour l'environnement, ont aussi eu pour effet de réduire le bruit des moteurs à essence.

Alors, d'où vient tout ce bruit excessif que nous entendons de plus en plus dans nos rues?

Lors d'une brève recherche en ligne, on trouve les réponses suivantes : «générateurs de sons électroniques», «amplificateurs de son d'échappement», " «embouts d'échappement avec modification sonore», «buses et valves d'échappement»... Ce sont des générateurs de sons artificiels. Ces solutions sont proposées par les concessionnaires automobiles ou les revendeurs de gadgets pour automobiles en vue de préserver, voire augmenter le niveau sonore des voitures. C'est exact, vous avez bien lu. Ces dispositifs en vente libre n'ont qu'une seule utilité: FAIRE DU BRUIT! 

Des nouveaux dispositifs pour faire du bruit
Ces bruiteurs utilisent des générateurs de sons électroniques ou des haut-parleurs sous le véhicule ou à l'intérieur de la voiture pour reproduire l'illusion de rouler avec un moteur « haute performance ». Ils peuvent même être «personnalisables» et simuler divers types de marques de moteurs. Une Honda Civic peut ainsi «sonner x comme une Maserati de course!»

Pour offrir une expérience de conduite réaliste, ces générateurs sonores peuvent être liés électroniquement au régime du moteur. Certains de ces dispositifs modifient directement le son du système d'échappement. Ils peuvent inclure des composants électroniques pour altérer la note d'échappement et la rendre plus puissante ou irrégulière. De nombreuses solutions disponibles sur le marché offrent même des applications mobiles qui se connectent à l'ordinateur de bord de la voiture ou à un dispositif externe via Bluetooth. Ces applications permettent à l’utilisateur de choisir parmi différents sons simulés de moteur et de les ajuster en fonction de ses préférences personnelles. Un conducteur peut désactiver l'application et rouler avec le son normal de son moteur. Il peut aussi décider de FAIRE DU BRUIT et d'attirer toute l'attention sur lui! Et même s'il ne passe pas dans votre rue, il est fort probable que vous l'entendiez à plusieurs kilomètres à la ronde, dans les rues de Ville Mont-Royal.

Prêtez attention, vous entendrez ces voitures rutilantes le matin entre 7h00 et 9h00, ou en fin de journée entre 18h00 et 19h00.

J'ai observé au moins une douzaine de voitures qui émettent ces bruits excessifs. La plupart d'entre elles sont des voitures de luxe qui se vendent à plus de 100 000 dollars. Je comprends que les amateurs de voitures chères s'attendent à un son puissant donnant l'impression d'avoir un moteur et une voiture de hautes performances. Les générateurs de sons leur donnent cette impression de puissance, et améliorent par le fait même leur « expérience de conduite ».

Pour quelques milliers de dollars, les concessionnaires automobiles offrent ces générateurs de son en option et de tels produits deviennent de plus en plus populaires chez les acheteurs de voitures luxueuses. Cela peut expliquer pourquoi il pourrait y avoir une surreprésentation de ces voitures à Ville Mont-Royal...

Les générateurs de bruit sont-ils légaux ?
J'ai effectué des recherches sur les réglementations portant sur la modification des véhicules, y compris celles liées aux systèmes d'échappement et aux générateurs de sons.

Transport Québec n'autorise pas les voitures qui génèrent plus de 83 décibels (dB). Certaines motocyclettes peuvent générer jusqu'à un maximum de 100 dB. Les modifications de silencieux qui provoquent des flammes, des étincelles ou un bruit excessif sont illégales au Canada.

Un niveau sonore de 83 dB, par exemple, équivaut au son d'une rue animée, d'une unité d'élimination des déchets, d'un réveil matin, d'un sèche-cheveux ou d'une sonnerie de téléphone standard. Pour donner une autre base de comparaison, ma voiture, une berline équipée d'un moteur de 2.0L génère 36 dB au ralenti et 71 dB à 110 km/h, sa vitesse de croisière.

On voit bien qu'une voiture qui génère plus de 83 dB de bruit dans un couloir scolaire de 30 km/h n'a tout simplement pas de sens ! C'est pourtant ce que je constate tous les jours sur le chemin Dunvegan, aux abords de l'école Carlyle. 

Mais il n'y a pas de règlement à Ville Mont-Royal qui proscrit le bruit excessif de véhicules routiers en circulation.

Les villes commencent à agir
Notre ville a des règlements très stricts en matière de bruit pour minimiser la pollution sonore due à la construction, à la rénovation, à l'aménagement paysager, aux souffleurs de feuilles, aux instruments de musique, aux spectacles et aux dispositifs sonores pour la promotion d'une entreprise, d'un spectacle ou d'une performance en public (Règlement no 1380).

Le conseil municipal devrait modifier ce règlement pour y inclure une mention spécifique au bruit provenant des véhicules routiers en circulation. Pour envoyer un message clair aux contrevenants, cette mention pourrait être liée aux lois et règlements provinciaux et fédéraux.

La Ville de Québec, par exemple, a adopté une réglementation à cet effet. Les contrevenants sont passibles d'une amende allant de 150 $ à 1000 $ s'ils sont reconnus coupables d'infraction. Les amendes peuvent être doublées en cas de récidive.

La Ville de Montréal et plusieurs de ses arrondissements ont également des règlements applicables aux détenteur d'un véhicule automobile qui émet un bruit d'un niveau de pression acoustique supérieur au maximum fixé par la Loi. 

Depuis 2023, la ville de Paris expérimente ses premiers radars sonores. À l'instar des radars de vitesse, les radars sonores prennent une photo de la plaque d'immatriculation et les contraventions sont envoyées de manière automatique aux conducteurs trop bruyants.

Une préoccupation majeure de santé et de sécurité publique
Les générateurs de sons, en particulier ceux conçus pour imiter des sons de moteur forts ou agressifs, ne sont pas seulement une nuisance du point de vue de la pollution sonore. Ils pourraient surprendre et distraire d'autres conducteurs ou intimider les piétons. Ils peuvent aussi nuire au sommeil des résidents. Les autorités doivent considérer de tels impacts comme des risques pour la santé et la sécurité des citoyens, ce qui devrait nécessairement donner lieu à des encadrements réglementaires plus strictes.

À Ville Mont-Royal, compte-tenu de la topographie, une voiture trop bruyante peut troubler le sommeil des milliers de résidents la nuit. Les effets du bruit sur la santé sont bien connus. L’exposition au bruit excessif est génératrice de stress, de troubles du sommeil et de maladies cardiovasculaires. Elle provoquerait également une perte d’espérance de vie.

Il est temps d'agir !
Il y a 26 ans, j'ai choisi la Ville de Mont-Royal pour sa qualité de vie exceptionnelle, sa tranquillité et son environnement sain pour ma famille.

Préservons notre cité-jardin !
J'invite donc tous les citoyens de Ville Mont-Royal et des environs à signer cette pétition en ligne. La pétition sera présentée au conseil municipal en 2024.

Pour signer la pétition :
https://chng.it/YWbg5Qbghg

Une pétition contre les voitures bruyantes

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Publication : 4 avril 2024

Par M. Benoît Grenier, av. Lazard