Facebook  
  • Nouvelles
  • Courrier des lecteurs
  • Restos
    • Les matins
    • Les midis
    • Les soirs
  • Voyages
    • CANADA
      • Île-du-Prince-Édouard
      • Terre-Neuve
    • QUÉBEC
      • Bas-Saint-Laurent
      • Cantons-de-l'Est
      • Charlevoix
      • Charlevoix 2
      • Laurentides
      • Outaouais
      • Outaouais 2
    • ÉTATS-UNIS
      • Californie
      • Maine
      • Massachusetts
      • New Hampshire
      • New-York
    • AMÉRIQUE CENTRALE
      • Honduras
    • Îles du monde
      • Guadeloupe
      • SAINT-PIERRE-ET-MIQUELON
    • EUROPE
      • Pays-Bas
      • République tchèque
  • Immobilier
  • Ville de Mont-Royal
parution station mont-royal
maison st-raphael
Abonnez-vous à l'infolettre    Pour recevoir à chaque semaine l’infolettre de Station Mont-Royal, il suffit de s’abonner gratuitement en cliquant ici.   Une idée de sujet à nous soumettre ?   Merci de communiquer avec Station Mont-Royal info@stationmontroyal.com   Conseil de Ville    Le prochain conseil de ville aura lieu le lundi 16 novembre à 19h à l'Hôtel de ville, 90 av. Roosevelt.  

Historique du parc Mohawk

Détails
TOPONYMIE
Publication : 26 novembre 2020

La toponymie fait aujourd’hui partie intégrante du paysage urbain. Elle nous renseigne tout particulièrement sur les étapes qui ont marqué le développement d’une municipalité. Avec l’aimable collaboration de la Ville de Mont-Royal, nous retraçons l’histoire d’un parc de la ville.

Parc Mohawk- 19 février 1951
Membres de la confédération iroquoise, les Mohawks vivaient à l’origine sur les bords de la rivière Mohawk, dans l’état de New York. Avec l’arrivée des Français au début du XVIIe siècle, ils entrèrent en conflit avec ces derniers qui étaient devenus les alliés de leurs ennemis traditionnels. Puis ils s’imposèrent de plus en plus dans la traite des fourrures comme le principal partenaire des marchands hollandais en éliminant plusieurs nations autochtones ou en s’attaquant aux convois de fourrures des Amérindiens qui commerçaient avec les Français. Pendant ce temps, les missionnaires poursuivaient leur œuvre d’évangélisation auprès d’eux et en convainquirent plusieurs, récemment convertis, de venir s’établir à proximité des postes français pour y fonder des missions comme celle de Kanawake. Ce petit groupe devint un fidèle allié des Français dans leur conflit avec les Anglais. Pour maintenir leur hégémonie dans la région, ces derniers encourageaient les Mohawks dans leurs actions envers la colonie française. Ces belligérants — Iroquois et Français — conclurent finalement une paix en 1701. Pendant la Révolution américaine, pour s’être alliés aux Britanniques, les Mohawks furent obligés d’abandonner leurs villages et de venir s’installer au Canada.

Les renseignements ci-dessus sont tirés du document Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics (NADON, Mario (1995). Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics, Québec, Ville de Mont-Royal, 59 p., ISBN 2-9804727-0-0).

Partagez sur
Ajouter un commentaire

UN PARC EN HOMMAGE À UN CITOYEN ÉMÉRITE

Détails
TOPONYMIE
Publication : 25 novembre 2019

La toponymie fait aujourd’hui partie intégrante du paysage urbain. Elle nous renseigne tout particulièrement sur les étapes qui ont marqué le développement d’une municipalité. Avec l’aimable collaboration de la Ville de Mont-Royal, nous retraçons l’histoire de ce parc.

En désignant ce parc en l’honneur d’Ernest-B. Jubien, la Ville a voulu ainsi rappeler l’engagement communautaire de ce citoyen. Natif de Sidney, en Nouvelle-Écosse, il fit des études au Mount Allison University et à l’Université McGill. Diplômé en ingénierie de cette dernière institution en 1926, il vint s’établir à Mont-Royal en 1938. Il travailla en sa qualité d’ingénieur pour d’importantes entreprises. Durant 18 ans, il fut à l’emploi de la C.I.L. et, à compter de 1946, il entra au service de la Dominion Textiles Co Ltd. Son action sociale s’étendait à de nombreux organismes locaux. Il œuvra dans le domaine de l’éducation et fut associé au développement des loisirs à Mont-Royal. Il fut conseiller municipal de 1947 à 1949. Président de la société d’horticulture, il fut aussi membre du comité d’aménagement des parcs et à ce titre, il participa à la création du parc qui porte aujourd’hui son nom.

Les renseignements ci-dessus sont tirés du document Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics (NADON, Mario (1995). Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics, Québec, Ville de Mont-Royal, 59 p., ISBN 2-9804727-0-0).

Partagez sur
Ajouter un commentaire

D’OMBRES ET DE LUMIÈRES, LE PARC ISABEL-SCHOFIELD

Détails
TOPONYMIE
Publication : 26 août 2019

PHOTOS STATION MONT-ROYAL

La toponymie fait aujourd’hui partie intégrante du paysage urbain. Elle nous renseigne tout particulièrement sur les étapes qui ont marqué le développement d’une municipalité. Avec l’aimable collaboration de la Ville de Mont-Royal, nous retraçons l’histoire d’une rue ou d’un parc de la ville.

Nommé en l’honneur d’Isabel Schofield (1900-1983) qui s’est faite connaître pour son engagement communautaire durant plus de 50 ans. Son action sociale s’est notamment manifestée au sein d’associations de citoyens comme le Mount Royal Property Owners’ Association, organisme dont elle a participé à la fondation en 1936 et qui est devenu plus tard le Mount Royal Municipal Association. Native d’Édimbourg, en Écosse, Isabel Wallace Watt, accompagnée de ses parents, débarqua au Canada vers 1910 et s’installa rue Milton, à Montréal. En 1919, elle épousait Richard Earle Schofield — maire de Mont-Royal de 1945 à 1951 — et s’établit en 1922 dans cette ville pour en devenir une des citoyennes les plus influentes. Elle collabora à la mise sur pied du TMR Horticultural Society. Pendant la Deuxième Guerre mondiale, elle s’occupa des campagnes de financement des bons de la victoire. Après la mort de son mari en 1957, ses activités se transportèrent au Conseil municipal où elle combattit tous les projets qui, selon elle, pouvaient être néfastes pour la municipalité. Toutefois, en 1972, cette dernière lui rendit un vibrant hommage pour son action communautaire et pour ses 50 ans de résidence à Mont-Royal. En 1977, l’Association municipale de Mont-Royal lui manifesta également sa reconnaissance.

Le parc Isabel-Schofield était auparavant désigné sous le nom parc Schofield.

  • IMG_0284.JPG
  • IMG_0287.JPG
  • IMG_0292.JPG
  • IMG_0294.JPG
  • IMG_0301.JPG
  • IMG_0304.JPG
  • IMG_0307.JPG
  • IMG_0310.JPG
  • IMG_0313.JPG
Previous Next
Les renseignements ci-dessus sont tirés du document Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics (NADON, Mario (1995). Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics, Québec, Ville de Mont-Royal, 59 p., ISBN 2-9804727-0-0).

Partagez sur
Ajouter un commentaire

Historique des rues

Détails
TOPONYMIE
Publication : 11 décembre 2018

La toponymie fait aujourd’hui partie intégrante du paysage urbain. Elle nous renseigne tout particulièrement sur les étapes qui ont marqué le développement d’une municipalité. À chaque numéro du journal Station Mont-Royal, avec l’aimable collaboration de la Ville de Mont-Royal, nous retraçons l’histoire d’une rue de la ville.

Dresden
Ville industrielle d’Allemagne orientale, Dresde (Dresden en anglais) est la capitale du land de Saxe. Elle doit son développement à deux facteurs importants : la navigabilité de l’Elbe et la présence de la lignite dans la région. Son économie repose surtout sur des industries de transformation- mécanique, électricité et chimie — auxquelles s’est greffé un solide réseau de communication — canaux et routes. Considérée comme un centre culturel florissant, elle est surtout connue pour son musée de peinture, le Gemâldegalerie. Développée à partir du XIIIe siècle, la ville passa aux mains des ducs de Saxe et connut, sous Auguste II et Auguste III, un épanouissement artistique. En 1813, lors des guerres de conquête de l’Europe, Napoléon y remporta une victoire. Pendant la Deuxième Guerre mondiale, Dresde subit des dommages importants, causés par les bombardements alliés de février 1945, qui détruisirent la grande majorité de ses monuments baroques. D’après le plan original de Mont-Royal de 1912, l’avenue Dresden était désignée sous le nom de Dresden Road. En 1924, le Conseil municipal lui donnait le générique actuel avenue.

Les renseignements ci-dessus sont tirés du document Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics (NADON, Mario (1995). Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics, Québec, Ville de Mont-Royal, 59 p., ISBN 2-9804727-0-0).

Partagez sur
Ajouter un commentaire

Historique des rues

Détails
TOPONYMIE
Publication : 29 novembre 2018

La toponymie fait aujourd’hui partie intégrante du paysage urbain. Elle nous renseigne tout particulièrement sur les étapes qui ont marqué le développement d’une municipalité. À chaque numéro du journal Station Mont-Royal, avec l’aimable collaboration de la Ville de Mont-Royal, nous retraçons l’histoire d’une rue de la ville.

Stanstead
Ce nom serait emprunté à l’une des quatre entités d’Angleterre qui se dénomment Stanstead. On les retrouve dans les comtés de Kent, Suffolk et Hertfordshire. Toutefois, dans ce dernier comté, les endroits sont connus sous les désignations de Abbots’ Stanstead et St. Margaret’s Stanstead. Ce nom a également été donné à une municipalité de l’Estrie. L’avenue Stanstead s’appelait, avant 1924, Wicksteed Road, tandis que le croissant Stanstead, désigné le 19 février 1951, est un ancien tronçon de l’avenue Stanstead.

Les renseignements ci-dessus sont tirés du document Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics (NADON, Mario (1995). Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics, Québec, Ville de Mont-Royal, 59 p., ISBN 2-9804727-0-0).

Partagez sur
Ajouter un commentaire

HISTORIQUE DE RUES

Détails
TOPONYMIE
Publication : 13 novembre 2018

La toponymie fait aujourd’hui partie intégrante du paysage urbain. Elle nous renseigne tout particulièrement sur les étapes qui ont marqué le développement d’une municipalité. À chaque numéro du journal Station Mont-Royal, avec l’aimable collaboration de la Ville de Mont-Royal, nous retraçons l’histoire d’une rue de la ville.

Rue Jean‐Talon
Jean Talon (1625-1694) fut, à deux reprises, intendant de la Nouvelle-France, soit de 1665 à 1668 et de 1669 à 1672. Nommé par Colbert, il fut aussi le premier titulaire de ce poste. En débarquant dans la colonie, il misa sur une diversification des activités économiques en développant en particulier certains domaines comme la construction navale, la pêche, les métiers artisanaux, l’agriculture et le commerce colonial. Mais pour soutenir cette expansion, il fallait nécessairement accroître la population, et pour atteindre cet objectif, il édicta différentes mesures. Il encouragea les soldats en poste dans la colonie à y demeurer et fit venir, de France, des contingents de colons et de jeunes filles à marier. On gratifiait aussi ceux qui avaient des mariages précoces et des familles nombreuses. De retour en France en 1672, le roi en fit son secrétaire et lui attribua la dignité de comte d’Orsainville. L’œuvre laissée par Talon est importante mais malheureusement n’eut pas de continuité en raison notamment des coûts faramineux encourus par ses projets. Toutefois, il en resta sa réforme administrative et juridique qui continua d’être appliquée. Dénommée à l’origine par la Ville de Montréal, la rue Jean-Talon a d’abord été connue sous l’appellation chemin du Petit-Liesse et puis, jusqu’en 1959, sous celle de rue Namur, année où on lui attribua la désignation actuelle.

Les renseignements ci-dessus sont tirés du document Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics (NADON, Mario (1995). Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics, Québec, Ville de Mont-Royal, 59 p., ISBN 2-9804727-0-0).

Partagez sur
Ajouter un commentaire

Historique des rues

Détails
TOPONYMIE
Publication : 29 octobre 2018

La toponymie fait aujourd’hui partie intégrante du paysage urbain. Elle nous renseigne tout particulièrement sur les étapes qui ont marqué le développement d’une municipalité. À chaque numéro du journal Station Mont-Royal, avec l’aimable collaboration de la Ville de Mont-Royal, nous retraçons l’histoire d’une rue de la ville.

Avenue Johnson 19 mai 1952
L’origine de ce nom semble plutôt obscure mais celui-ci pourrait rappeler la mémoire de sir Gordon Johnson (1885-1955), ancien ministre du Home Security dans le gouvernement Churchill (V. Chemin Churchill) pendant la Deuxième Guerre mondiale.

Les renseignements ci-dessus sont tirés du document Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics (NADON, Mario (1995). Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics, Québec, Ville de Mont-Royal, 59 p., ISBN 2-9804727-0-0).

Partagez sur
Ajouter un commentaire

Historique des rues

Détails
TOPONYMIE
Publication : 16 octobre 2018

La toponymie fait aujourd’hui partie intégrante du paysage urbain. Elle nous renseigne tout particulièrement sur les étapes qui ont marqué le développement d’une municipalité. À chaque numéro du journal Station Mont-Royal, avec l’aimable collaboration de la Ville de Mont-Royal, nous retraçons l’histoire d’une rue de la ville.

Eden
Chemin Eden ‐ 19 mai 1952
Anthony Robert Eden, comte d’Avon (1897-1977) fut un homme d’état britannique, né à Windlestone Hall, dans le Durham. Après des études à Eton et à l’Université d’Oxford, il fit son entrée, en 1923, à la Chambre des communes comme député conservateur et devint ministre des Affaires étrangères en 1935, mais démissionna quelque temps après. Porté au pouvoir, Churchill (V. Chemin Churchill) fit appel à ses compétences en lui confiant, en 1940, ce même ministère, poste qu’il occupa jusqu’à la fin de la guerre et à nouveau, lors de la réélection du gouvernement conservateur en 1951. Entre- temps, il fut le chef de l’opposition aux Communes. À la suite du départ de Churchill de la scène politique en 1955, il succéda à ce dernier à titre de premier ministre, et c’est dans le cadre de cette fonction qu’il organisa une expédition militaire en Égypte pour empêcher la nationalisation du canal de Suez. À cause d’une santé précaire, il quitta son poste en 1957 et obtint la dignité de comte en1961.

Les renseignements ci-dessus sont tirés du document Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics (NADON, Mario (1995). Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics, Québec, Ville de Mont-Royal, 59 p., ISBN 2-9804727-0-0).

Partagez sur
Ajouter un commentaire

Historique des rues

Détails
TOPONYMIE
Publication : 4 octobre 2018

La toponymie fait aujourd’hui partie intégrante du paysage urbain. Elle nous renseigne tout particulièrement sur les étapes qui ont marqué le développement d’une municipalité. À chaque numéro du journal Station Mont-Royal, avec l’aimable collaboration de la Ville de Mont-Royal, nous retraçons l’histoire d’une rue de la ville.

Avenue Melbourne ‐ 2 janvier 1924
William Lamb, 2e vicomte de Melbourne (1779-1848), fut premier ministre d’Angleterre en 1834 et de 1835 à 1841. Il eut une carrière politique bien remplie. Siégeant d’abord comme député du Parti whig, il entra en 1827 dans le cabinet tory de Canning puis revint dans le cabinet Grey comme ministre de l’Intérieur en cette qualité, il dut enrayer les nombreux troubles sociaux qui se répandaient dans le pays. Parmi ses importantes réalisations on retrouve notamment la réforme parlementaire. Comme premier ministre, il exerça un mandat plutôt terne, mais son influence auprès de la reine Victoria fut considérable. Son nom fut également donné à la ville de Melbourne qui fut la capitale de l’Australie de 1901 à 1927. Avant 1924, l’avenue Melbourne se dénommait Morrison Avenue

. Les renseignements ci-dessus sont tirés du document Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics (NADON, Mario (1995). Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics, Québec, Ville de Mont-Royal, 59 p., ISBN 2-9804727-0-0).

Partagez sur
Ajouter un commentaire

Historique des rues

Détails
TOPONYMIE
Publication : 19 septembre 2018

La toponymie fait aujourd’hui partie intégrante du paysage urbain. Elle nous renseigne tout particulièrement sur les étapes qui ont marqué le développement d’une municipalité. À chaque numéro du journal Station Mont-Royal, avec l’aimable collaboration de la Ville de Mont-Royal, nous retraçons l’histoire d’une rue de la ville.

Chemin Winton ‐ 3 octobre 1938
Cet odonyme évoquerait l’une des deux localités anglaises de ce nom, soit celle située dans le Westmorland ou celle, dans le Yorkshire. Avant 1938, le chemin Winton était connu sous la dénomination chemin Dunvegan.

Les renseignements ci-dessus sont tirés du document Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics (NADON, Mario (1995). Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics, Québec, Ville de Mont-Royal, 59 p., ISBN 2-9804727-0-0).

Partagez sur
Ajouter un commentaire

Historique des rues

Détails
TOPONYMIE
Publication : 12 septembre 2018

La toponymie fait aujourd’hui partie intégrante du paysage urbain. Elle nous renseigne tout particulièrement sur les étapes qui ont marqué le développement d’une municipalité. À chaque numéro du journal Station Mont-Royal, avec l’aimable collaboration de la Ville de Mont-Royal, nous retraçons l’histoire d’une rue de la ville.

Chemin Kildare ‐ 19 février 1951 Ville de la république d’Irlande, Kildare est située au sud de Dublin, dans la province de Leinster. Le développement de cette ville se réalisa autour d’un monastère fondé au Ve siècle par sainte Brigide. Elle a conservé quelques bâtiments religieux datant du Moyen Âge, entre autres la cathédrale et l’abbaye érigée en 1260. Le comté de Kildare dont fait également partie la ville du même nom, s’étend sur le versant nord des monts Wicklow et dans la plaine centrale. Cette région renferme de nombreux haras de grande réputation.

Les renseignements ci-dessus sont tirés du document Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics (NADON, Mario (1995). Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics, Québec, Ville de Mont-Royal, 59 p., ISBN 2-9804727-0-0).

Partagez sur
Ajouter un commentaire

Historique des rues

Détails
TOPONYMIE
Publication : 18 août 2018

La toponymie fait aujourd’hui partie intégrante du paysage urbain. Elle nous renseigne tout particulièrement sur les étapes qui ont marqué le développement d’une municipalité. À chaque numéro du journal Station Mont-Royal, avec l’aimable collaboration de la Ville de Mont-Royal, nous retraçons l’histoire d’une rue de la ville.

Normandy
Cet odonyme (Normandy en anglais) évoque l’ancienne province de France, dont les origines remontent à l’époque romaine où elle fut unifiée. Au Moyen Âge, elle passa sous le joug de la dynastie des Plantagenet, qui régnait également sur l’Angleterre. Malgré que cette région conserva, au cours des siècles, une certaine indépendance, elle fut progressivement intégrée à l’espace géographique francçais. Aujourd’hui, elle est scindée en deux régions administratives : la basse et la haute Normandie. Mais, toutefois, ce nom rappelle également l’une des plus importantes campagnes militaires de la Deuxième Guerre mondiale. Les soldats canadiens participèrent à cette opération d’envergure des forces alliées, connue sous le nom de code Overlord, en débarquant le 6 juin 1944 sur les côtes normandes — dans le secteur appelé Juno. Pendant les semaines suivant ce débarquement, ils furent aussi associés à deux offensives majeures de la bataille de Normandie. Avec l’appui des troupes britanniques, les Canadiens libérèrent, le 9 juillet, la ville de Caen, tandis qu’ils s’emparèrent de Falaise le 16 août. Au cours de cette campagne militaire, la plus importante du XXe siècle, plus de 18 000 soldats canadiens y furent tués ou blesse

́s. Les renseignements ci-dessus sont tirés du document Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics (NADON, Mario (1995). Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics, Québec, Ville de Mont-Royal, 59 p., ISBN 2-9804727-0-0).

Partagez sur
Ajouter un commentaire

Historique des rues

Détails
TOPONYMIE
Publication : 27 juin 2018

La toponymie fait aujourd’hui partie intégrante du paysage urbain. Elle nous renseigne tout particulièrement sur les étapes qui ont marqué le développement d’une municipalité. À chaque numéro du journal Station Mont-Royal, avec l’aimable collaboration de la Ville de Mont-Royal, nous retraçons l’histoire d’une rue de la ville.

Chemin Waterloo
Commune de Belgique, située au sud de Bruxelles, célèbre pour une opération militaire d’envergure au cours de laquelle Napoléon y subit une importante défaite. Depuis le couronnement de celui- ci en 1802, la politique étrangère française se traduisait par de nombreuses conquêtes territoriales qui étendaient l’hégémonie de ce pays à toute l’Europe. Après des victoires successives, l’armée française allait également subir de nombreuses défaites, et la plus décisive d’entre elles fut celle de Waterloo. Pour arrêter l’avance française, les puissances européennes s’étaient coalisées afin de vaincre définitivement l’Empereur. Le 18 juin 1815, ses troupes furent battues par l’armée anglaise, sous le commandement de Wellington, et par celle des Prussiens, dirigée par Blücher et Bülow. Ce désastre le força à abdiquer en faveur de son fils Napoléon II. Le chemin Waterloo est mentionné pour la première fois sur le plan original de Mont-Royal de 1912.

Les renseignements ci-dessus sont tirés du document Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics (NADON, Mario (1995). Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics, Québec, Ville de Mont-Royal, 59 p., ISBN 2-9804727-0-0).

Partagez sur
Ajouter un commentaire

Historique des rues

Détails
TOPONYMIE
Publication : 21 juin 2018

La toponymie fait aujourd’hui partie intégrante du paysage urbain. Elle nous renseigne tout particulièrement sur les étapes qui ont marqué le développement d’une municipalité. À chaque numéro du journal Station Mont-Royal, avec l’aimable collaboration de la Ville de Mont-Royal, nous retraçons l’histoire d’une rue de la ville.

Croissant Merit 6 juin 1955
Ce nom tire son origine du fait que les bureaux de la compagnie d’assurances Merit — Merit Insurance Company — se trouvaient à l’angle du boulevard Graham et de l’actuel croissant Merit, soit au 1320 boulevard Graham. J.B. Pennefather en était alors le président et le directeur. Résident du croissant Roselawn, il occupait également la vice-présidence de la compagnie Industrial Acceptance Corporation — IAC.

Les renseignements ci-dessus sont tirés du document Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics (NADON, Mario (1995). Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics, Québec, Ville de Mont-Royal, 59 p., ISBN 2-9804727-0-0).

Partagez sur
Ajouter un commentaire

Historique des rues

Détails
TOPONYMIE
Publication : 14 juin 2018

La toponymie fait aujourd’hui partie intégrante du paysage urbain. Elle nous renseigne tout particulièrement sur les étapes qui ont marqué le développement d’une municipalité. À chaque numéro du journal Station Mont-Royal, avec l’aimable collaboration de la Ville de Mont-Royal, nous retraçons l’histoire d’une rue de la ville.

Chemin Strathcona
Donald Alexander Smith, 1er baron de Strathcona et Mont-Royal (1820-1914), fut un homme d’affaires et diplomate canadien. Natif du Morayshire, en Écosse, il commença, en 1838, à travailler pour l’une des plus importantes entreprises de son époque, la Compagnie de la Baie d’Hudson. Son ascension au sein de cette dernière est rapide. Devenu le principal actionnaire, il accéda en 1889 à la prestigieuse fonction d’administrateur en chef. Ses intérêts financiers dans le Canadien Pacifique lui permirent de réaliser plusieurs de ses audacieux projets. Il en fut ainsi, notamment de la ligne transcontinentale, inaugurée en 1885. Actionnaire de la Banque de Montréal, il en devint président en 1887. Député à l’Assemblée législative du Manitoba, il siégea également dans les années 1870 à la Chambre des communes. Après une retraite de la scène politique, il fit un retour en 1887 aux Communes mais, cette fois-ci, comme représentant du comté de Montréal-Ouest. Nommé haut-commissaire au Royaume-Uni, il resta à ce poste jusqu’à sa mort, survenue à Londres. Anobli en 1897, il était également membre du Conseil privé. Il nous gratifia de certaines œuvres littéraires, entre autres Western Canada since Confederation, publiée en 1897.

Les renseignements ci-dessus sont tirés du document Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics (NADON, Mario (1995). Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics, Québec, Ville de Mont-Royal, 59 p., ISBN 2-9804727-0-0).

Partagez sur
Ajouter un commentaire

Historique des rues

Détails
TOPONYMIE
Publication : 1 juin 2018

La toponymie fait aujourd’hui partie intégrante du paysage urbain. Elle nous renseigne tout particulièrement sur les étapes qui ont marqué le développement d’une municipalité. À chaque numéro du journal Station Mont-Royal, avec l’aimable collaboration de la Ville de Mont-Royal, nous retraçons l’histoire d’une rue de la ville.

Avenue Grenfell ‐ 19 février 1951
Sir Wilfred Thomason Grenfell (1865-1940) s’illustra comme médecin missionnaire au Labrador. Né en Angleterre, il fit des études au London Medical School et, quelques années plus tard, il adhéra au National Mission for Deep-Sea Fishermen. À titre de directeur de l’organisme, il parcourut les côtes de Terre-Neuve et du Labrador, administrant les soins médicaux à une population clairsemée plutôt habituée à ne recevoir qu’annuellement la visite d’un médecin. Cette entreprise l’amena à fonder

un hôpital à Battle Harbour auquel se greffèrent par la suite un orphelinat, des postes de soins et les premières coopératives de la région. Son influence auprès des élites lui permit de recueillir un financement pour tous ces projets. En 1912, à la suite des tensions au sein de la mission, on forma l’Association internationale Grenfell. En le proclamant compagnon puis chevalier de l’ordre de Saint- Michel et de Saint-George, on reconnaissait l’importance de son œuvre.

Les renseignements ci-dessus sont tirés du document Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics (NADON, Mario (1995). Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics, Québec, Ville de Mont-Royal, 59 p., ISBN 2-9804727-0-0).

Partagez sur
Ajouter un commentaire

Historique des rues

Détails
TOPONYMIE
Publication : 16 mai 2018

La toponymie fait aujourd’hui partie intégrante du paysage urbain. Elle nous renseigne tout particulièrement sur les étapes qui ont marqué le développement d’une municipalité. À chaque numéro du journal Station Mont-Royal, avec l’aimable collaboration de la Ville de Mont-Royal, nous retraçons l’histoire d’une rue de la ville.

Chemin MacNeil ‐ 19 février 1951
Walter Roderick James MacNeil (1891-1985) fut à l’emploi de Ville Mont-Royal durant 42 ans. Il entra d’abord, en 1914, au service du département d’ingénierie. En 1923, il fut nommé ingénieur en chef et occupa ce poste jusqu’en 1946. On le désigna alors directeur général de la municipalité et ne quitta cette charge qu’au moment de sa retraite en 1956. Au fil des ans, il a pu ainsi participer activement à l’essor de la ville, car les différentes fonctions qu’il a exercées lui permettaient d’avoir une certaine influence sur l’évolution de cette dernière. Outre le nombre important d’années qu’il consacra à la Ville, il eut une carrière qui s’étendit sous huit administrations municipales, depuis le premier maire Thomas S. Darling jusqu’au règne de Reginald Dawson.

Les renseignements ci-dessus sont tirés du document Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics (NADON, Mario (1995). Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics, Québec, Ville de Mont-Royal, 59 p., ISBN 2-9804727-0-0).

Partagez sur
Ajouter un commentaire

Historique des rues

Détails
TOPONYMIE
Publication : 3 mai 2018

La toponymie fait aujourd’hui partie intégrante du paysage urbain. Elle nous renseigne tout particulièrement sur les étapes qui ont marqué le développement d’une municipalité. À chaque numéro du journal Station Mont-Royal, avec l’aimable collaboration de la Ville de Mont-Royal, nous retraçons l’histoire d’une rue de la ville.

Avenue Powell
Il semble que cet odonyme tire son nom d’un homme d’affaires influent de la Saskatchewan, Harvey Oliver Powell qui a probablement connu Thomas S. Darling, premier maire de Mont-Royal; puisque tous les deux ont travaillé, à la même époque, pour la banque, la First National Bank. De plus, il participa au développement de cette province, au même titre que Frederick E. Kenaston (V. Avenue Kenaston). Natif du Wisconsin, il devint directeur général de la Weyburn Security Bank, dont l’autorité s’étendait au sud de la Saskatchewan. L’avenue Powell apparaît pour la première fois sur un plan municipal de 1914.

Les renseignements ci-dessus sont tirés du document Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics (NADON, Mario (1995). Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics, Québec, Ville de Mont-Royal, 59 p., ISBN 2-9804727-0-0).

Partagez sur
Ajouter un commentaire

Historique des rues

Détails
TOPONYMIE
Publication : 17 avril 2018

La toponymie fait aujourd’hui partie intégrante du paysage urbain. Elle nous renseigne tout particulièrement sur les étapes qui ont marqué le développement d’une municipalité. À chaque numéro du journal Station Mont-Royal, avec l’aimable collaboration de la Ville de Mont-Royal, nous retraçons l’histoire d’une rue de la ville.

Chemin Lucerne ‐ 20 janvier 1950
Ville de la Suisse centrale, Lucerne est située sur les bords du lac des Quatre-Cantons. Chef-lieu du canton du même nom, elle est, en raison de son site et de son architecture exceptionnelle, une des villes les plus pittoresques du pays, et dont l’attrait important émane de ses nombreuses vieilles maisons et des magnifiques jardins longeant le lac. Ses deux ponts en bois couverts, le Kapellbriick et le Spreuerbriick, qui enjambent la rivière Reuss, sont également des exemples bien conservés de ce patrimoine historique. On trouve aussi l’église des Franciscains, l’église des Jésuites et le vieil hôtel de ville. Fondée au VIIIe siècle, près de l’emplacement d’une ancienne abbaye bénédictine, elle fut, durant une certaine période, sous domination autrichienne, mais s’en libéra finalement en 1386. D’obédience catholique, elle fut, vers 1800, la capitale de la Suisse et fut défaite, en 1847, en raison de sa politique religieuse par les troupes fédérales.

Le chemin Lucerne qui est l’une des plus anciennes voies de communication de la municipalité, s’est déjà appelé montée de la Côte-des-Neiges. On y trouve aujourd’hui la synagogue de la congrégation Beth-El, établie sur l’ancienne ferme Daoust-Fortier.

Les renseignements ci-dessus sont tirés du document Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics (NADON, Mario (1995). Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics, Québec, Ville de Mont-Royal, 59 p., ISBN 2-9804727-0-0).

Partagez sur
Ajouter un commentaire

Historique des rues

Détails
TOPONYMIE
Publication : 11 avril 2018

La toponymie fait aujourd’hui partie intégrante du paysage urbain. Elle nous renseigne tout particulièrement sur les étapes qui ont marqué le développement d’une municipalité. À chaque numéro du journal Station Mont-Royal, avec l’aimable collaboration de la Ville de Mont-Royal, nous retraçons l’histoire d’une rue de la ville.

Avenue Portland
Il s’agit vraisemblablement de la presqu’île dans le Dorset, connue sous le nom de Isle of Portland, que l’auteur anglais Thomas Hardy a surnommé le Gilbraltar du Wessex. Celle-ci renferme plusieurs carrières, dont la pierre servit à la construction de nombreux monuments d’Angleterre, notamment la cathédrale Saint-Paul et le palais Buckingham de Londres. Henri VIII y fit ériger un château, le Castletown. Principal village de l’endroit, Easton est relié à la terre ferme par un cordon en galets — le Chesil Bank. L’odonyme avenue Portland est mentionné pour la première fois sur le plan original de Mont-Royal de 1912.

Les renseignements ci-dessus sont tirés du document Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics (NADON, Mario (1995). Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics, Québec, Ville de Mont-Royal, 59 p., ISBN 2-9804727-0-0).

Partagez sur
Ajouter un commentaire

Historique des rues

Détails
TOPONYMIE
Publication : 23 mars 2018

La toponymie fait aujourd’hui partie intégrante du paysage urbain. Elle nous renseigne tout particulièrement sur les étapes qui ont marqué le développement d’une municipalité. À chaque numéro du journal Station Mont-Royal, avec l’aimable collaboration de la Ville de Mont-Royal, nous retraçons l’histoire d’une rue de la ville.

Avenue Mitchell
Le lieutenant-colonel Coulson Norman Mitchell, VC, (1889-1978) est un ancien résident de Mont- Royal, qui s’illustra par des actes de bravoure pendant la Première Guerre mondiale. Né à Winnipeg, il fut diplômé en 1912 en génie de l’Université du Manitoba. Il travailla d’abord pour une compagnie en ingénierie avant de s’engager dans l’armée canadienne à titre d’ingénieur. En Europe, il prit 30part à des opérations militaires d’envergure au cours desquelles il accomplit de grands exploits. Pour sa participation en 1916 à la bataille d’Ypres, il fut décoré de la croix militaire mais le plus grand honneur lui fut attribué en 1918 lorsqu’on lui décerna la plus haute distinction de l’empire britannique — la Victoria Cross. Celle-ci lui fut remise pour avoir empêché les Allemands de détruire un pont sur le canal de l’Escaut, près de Cambrai, en France. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il fut à l’emploi du Royal Canadian Engineers en Angleterre et fut ensuite promu au grade de lieutenant-colonel, tout en professant dans une école militaire d’ingénierie. Son nom fut donné à une division locale de la Légion royale canadienne, dont il fut le président d’honneur.

L’avenue Mitchell était connue antérieurement sous l’appellation Woodbine Avenue.

Les renseignements ci-dessus sont tirés du document Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics (NADON, Mario (1995). Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics, Québec, Ville de Mont-Royal, 59 p., ISBN 2-9804727-0-0).

Partagez sur
Ajouter un commentaire

Historique des rues

Détails
TOPONYMIE
Publication : 27 février 2018

La toponymie fait aujourd’hui partie intégrante du paysage urbain. Elle nous renseigne tout particulièrement sur les étapes qui ont marqué le développement d’une municipalité. À chaque numéro du journal Station Mont-Royal, avec l’aimable collaboration de la Ville de Mont-Royal, nous retraçons l’histoire d’une rue de la ville.

Croissant Lombard
Ce nom retenu par Thomas. S. Darling, premier maire de Mont-Royal, ferait référence à Lombard Street, cette rue londonienne où sont localisées un grand nombre d’activités bancaires. Ses origines remontent au XIIIe siècle lorsque des marchands lombards, venus du nord de l’Italie, se sont établis sur cette rue. Aujourd’hui, la plupart des grandes banques britanniques y ont leur siège social, notamment la Barclay’s et la Lloyd’s. De plus, cette dernière participa financièrement au développement du Canadian Northern Railway. D’après le plan original de 1912 de Mont-Royal, le croissant Lombard se dénommait Lombard Street. En 1938, le Conseil municipal lui donnait le générique actuel croissant.

Les renseignements ci-dessus sont tirés du document Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics (NADON, Mario (1995). Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics, Québec, Ville de Mont-Royal, 59 p., ISBN 2-9804727-0-0).

Partagez sur
Ajouter un commentaire

Historique des rues

Détails
TOPONYMIE
Publication : 6 février 2018

La toponymie fait aujourd’hui partie intégrante du paysage urbain. Elle nous renseigne tout particulièrement sur les étapes qui ont marqué le développement d’une municipalité. À chaque numéro du journal Station Mont-Royal, avec l’aimable collaboration de la Ville de Mont-Royal, nous retraçons l’histoire d’une rue de la ville.

Avenue Stannock ‐ 21 mai 1957
Cette entité pourrait faire référence à un lieu nommé Stannocky, situé dans le district d’Angus, en Écosse, à quelques kilomètres de la ville de Brechin.

Les renseignements ci-dessus sont tirés du document Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics (NADON, Mario (1995). Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics, Québec, Ville de Mont-Royal, 59 p., ISBN 2-9804727-0-0).

Partagez sur
Ajouter un commentaire

Historique des rues

Détails
TOPONYMIE
Publication : 18 janvier 2018

La toponymie fait aujourd’hui partie intégrante du paysage urbain. Elle nous renseigne tout particulièrement sur les étapes qui ont marqué le développement d’une municipalité. À chaque numéro du journal Station Mont-Royal, avec l’aimable collaboration de la Ville de Mont-Royal, nous retraçons l’histoire d’une rue de la ville.

Avenue Woodlea ‐ 1er avril 1957
Deux hypothèses sont avancées quant à l’origine de cet odonyme. Le Conseil municipal a voulu, semble-t-il, en choisissant ce nom rappeler une petite localité de Grande-Bretagne. Mais selon une autre hypothèse, il pourrait aussi s’agir d’une dénomination descriptive d’usage plutôt inusité en anglais. Le mot Woodlea est employé dans certains genres littéraires, notamment en poésie.

Les renseignements ci-dessus sont tirés du document Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics (NADON, Mario (1995). Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics, Québec, Ville de Mont-Royal, 59 p., ISBN 2-9804727-0-0).

Partagez sur
Ajouter un commentaire

Historique des rues

Détails
TOPONYMIE
Publication : 22 décembre 2017

La toponymie fait aujourd’hui partie intégrante du paysage urbain. Elle nous renseigne tout particulièrement sur les étapes qui ont marqué le développement d’une municipalité. À chaque numéro du journal Station Mont-Royal, avec l’aimable collaboration de la Ville de Mont-Royal, nous retraçons l’histoire d’une rue de la ville.

Avenue Wicksteed
Henry King Wicksteed (1855-1927) fut l’ingénieur responsable des travaux de construction du tunnel sous le mont Royal. Né à Québec, diplômé de l’Université McGill, il occupa par la suite de nombreuses fonctions à titre d’ingénieur. Il travailla pour différentes entreprises ferroviaires, notamment pour le Canadien Pacifique et le Canadian Northern Railway. À l’emploi de cette dernière à partir de 1904, il exécuta des projets d’envergure dans plusieurs villes canadiennes, dont celui de Montréal, avec le tunnel sous le mont Royal. Réalisé entre 1912 et 1916, cet ouvrage coûta la somme de 5 500 000 $, et, en octobre 1918, un premier train de passagers en inaugura la mise en service officielle. D’après le plan original de Mont-Royal de 1912, l’avenue Wicksteed devait se nommer Wickstead Road. Mais en 1924, le Conseil municipal adoptait une modification à cette désignation en lui attribuant le générique actuel avenue.

Les renseignements ci-dessus sont tirés du document Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics (NADON, Mario (1995). Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics, Québec, Ville de Mont-Royal, 59 p., ISBN 2-9804727-0-0).

Partagez sur
Ajouter un commentaire

Historique des rues

Détails
TOPONYMIE
Publication : 5 décembre 2017

La toponymie fait aujourd’hui partie intégrante du paysage urbain. Elle nous renseigne tout particulièrement sur les étapes qui ont marqué le développement d’une municipalité. À chaque numéro du journal Station Mont-Royal, avec l’aimable collaboration de la Ville de Mont-Royal, nous retraçons l’histoire d’une rue de la ville.

Avenue Morrison
Retenue par Thomas S. Darling, cette entité apparaît sur le premier plan municipal, confectionné en 1912. Toutefois, nos recherches ne nous ont malheureusement pas permis d’identifier le personnage auquel le premier maire de Mont-Royal voulait ainsi rendre hommage. Nous savons toutefois que ce patronyme est très répandu en Écosse et que plusieurs Canadiens, originaires de ce pays, portaient, à cette époque, ce nom. Par exemple, parmi les premiers résidents de Mont- Royal on retrouve Claude R. Morrison, agent du Canadian Northern Montreal Land Co. et son frère Walter Morrison, surintendant de la Ville de Mont-Royal.

Les renseignements ci-dessus sont tirés du document Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics (NADON, Mario (1995). Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics, Québec, Ville de Mont-Royal, 59 p., ISBN 2-9804727-0-0).

Partagez sur
Ajouter un commentaire

Historique des rues

Détails
TOPONYMIE
Publication : 16 novembre 2017

La toponymie fait aujourd’hui partie intégrante du paysage urbain. Elle nous renseigne tout particulièrement sur les étapes qui ont marqué le développement d’une municipalité. À chaque numéro du journal Station Mont-Royal, avec l’aimable collaboration de la Ville de Mont-Royal, nous retraçons l’histoire d’une rue de la ville.

Promenade Marlboro ‐ 19 mai 1952
Cette entité est en fait l’abréviation de Marlborough, ville du comté de Wiltshire, en Angleterre. Celle- ci s’étend sur les bords de la rivière Kennet, au pied des collines Marlborough Downs. Sa fondation date de 1204, année où elle obtint sa première charte du roi Jean sans Terre. Mais toutefois, celle qui est actuellement en vigueur remonte à 1575. Ravagée par deux incendies au XVIIe siècle, elle a conservé, au fil des siècles, de magnifiques édifices qui se distinguent par leur conception architecturale, et dont la construction est antérieure à ces terribles catastrophes. La prestigieuse institution d’enseignement Marlborough College, constituée en 1843, a aussi fait la réputation de la ville. Aujourd’hui, cette dernière est devenue un centre de services dans une région où l’activité principale est l’agriculture.

Les renseignements ci-dessus sont tirés du document Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics (NADON, Mario (1995). Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics, Québec, Ville de Mont-Royal, 59 p., ISBN 2-9804727-0-0).

Partagez sur
Ajouter un commentaire

Historique des rues

Détails
TOPONYMIE
Publication : 7 novembre 2017

La toponymie fait aujourd’hui partie intégrante du paysage urbain. Elle nous renseigne tout particulièrement sur les étapes qui ont marqué le développement d’une municipalité. À chaque numéro du journal Station Mont-Royal, avec l’aimable collaboration de la Ville de Mont-Royal, nous retraçons l’histoire d’une rue de la ville.

Avenue Oakdale ‐ 12 septembre 1955
Désignation descriptive faisant référence au chêne — Oak en anglais. Cet arbre est surtout répandu dans l’hémisphère nord où on dénombre environ 200 espèces. Toutefois, au Canada, on en compte seulement dix. Constitué de feuilles alternes et généralement lobées, avec une large cime, il produit un fruit : le gland. Sa principale qualité, la résistance, en fait un bois recherché notamment pour l’ébénisterie et la parqueterie.

Les renseignements ci-dessus sont tirés du document Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics (NADON, Mario (1995). Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics, Québec, Ville de Mont-Royal, 59 p., ISBN 2-9804727-0-0).

Partagez sur
Ajouter un commentaire

Historique des rues

Détails
TOPONYMIE
Publication : 26 octobre 2017

La toponymie fait aujourd’hui partie intégrante du paysage urbain. Elle nous renseigne tout particulièrement sur les étapes qui ont marqué le développement d’une municipalité. À chaque numéro du journal Station Mont-Royal, avec l’aimable collaboration de la Ville de Mont-Royal, nous retraçons l’histoire d’une rue de la ville.

Chemin Hanover ‐ 19 février 1951
Cette dénomination identifie la maison royale d’origine allemande (Hanovre en français), dont la dynastie donna six rois à l’Angleterre. George-Louis, électeur de Hanovre, fut proclamé, en 1714, roi sous le nom de George ler auquel succédèrent George II, George III, George IV et William IV. La reine Victoria fut la dernière de cette lignée à assumer cette fonction; la continuité fut par la suite assurée par la maison de Saxe-Cobourg-Gotha qui fut rebaptisée Maison de Windsor en 1917. Les origines de la dynastie de Hanovre remontent à la Révolution anglaise de 1688-1689, dont découla le fameux Acte d’établissement qui garantissait, aux protestants, la couronne anglaise, dont la future reine Anne Stuart était la principale prétendante. Cette dernière désigna, avant sa mort, son héritier comme étant George-Louis, petit-fils de Jacques 1er d’Angleterre. Accédant au trône en 1837, Victoria ne pouvait pas, comme femme, revendiquer la succession de Hanovre et dut renoncer à toutes prétentions en faveur du duc de Cumberland.

Les renseignements ci-dessus sont tirés du document Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics (NADON, Mario (1995). Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics, Québec, Ville de Mont-Royal, 59 p., ISBN 2-9804727-0-0).

Partagez sur
Ajouter un commentaire

Historique des rues

Détails
TOPONYMIE
Publication : 9 octobre 2017

La toponymie fait aujourd’hui partie intégrante du paysage urbain. Elle nous renseigne tout particulièrement sur les étapes qui ont marqué le développement d’une municipalité. À chaque numéro du journal Station Mont-Royal, avec l’aimable collaboration de la Ville de Mont-Royal, nous retraçons l’histoire d’une rue de la ville.

Avenue Vivian
Retenue par le maire Thomas S. Darling, cette désignation semble rappeler le souvenir de Henry Vivian (1868-1930), avocat, député britannique et partisan de nouvelles formes urbaines, la banlieue-jardin et la cité-jardin. Sa conception de la ville se voulait une solution à certains problèmes sociaux que connaissait alors l’Angleterre. Pendant son voyage au Canada en 1910, il s’arrêta à Montréal, où il exposa, lors de conférences, les principes d’un environnement urbain agréable à habiter. Ses idées suscitèrent un grand intérêt. Elles influencèrent en partie les réalisations de l’architecte paysagiste Frederick Todd (V. Parc Frederick-Todd), celui qui conçut, en 1911, le plan d’aménagement original de Mont-Royal. Vivian contribua à redéfinir la planification urbaine au Canada. Sur le plan conçu en 1912 pour le Canadian Northern Railway, on a écrit Vyvyan Street au lieu de l’appellation actuelle avenue Vivian.

Les renseignements ci-dessus sont tirés du document Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics (NADON, Mario (1995). Patrimoine toponymique : Rues et parcs publics, Québec, Ville de Mont-Royal, 59 p., ISBN 2-9804727-0-0).

Partagez sur
Ajouter un commentaire

Plus d'articles...

  1. Historique des rues
  2. Historique des rues
  3. Historique des rues
  4. Historique des rues
  5. Historique des rues
  6. Historique des rues
  7. Historique des rues
  8. Historique des rues
  9. Historique des rues
  10. Historique des rues
  11. Historique des rues
  12. Historique des rues
  13. Historique des rues
  14. Historique des rues
  15. HISTORIQUE DE RUES
  16. Historique des rues
  17. Historique des rues
  18. Historique des rues
  19. Historique des rues
  20. Historique des rues
  21. Historique des rues
  22. Historique des rues
  23. Historique des rues
  24. Historique des rues
  25. Historique des rues
  26. Historique des rues
  27. Historique des rues
  28. Historique des rues
  29. Historique des rues
  30. Historique des rues
  31. Historique des rues
  32. Historique des rues
  33. Historique des rues
  34. Historique des rues
  35. Historique des rues
  36. Historique des rues
  37. HISTORIQUE DE RUES
  38. HISTORIQUE DE RUES
  39. HISTORIQUE DE RUES
  40. HISTORIQUE DE RUES
  41. HISTORIQUE DE RUES
  42. HISTORIQUE DE RUES
  43. HISTORIQUE DE RUES
  44. HISTORIQUE DE RUES
  45. HISTORIQUE DE RUES
  46. HISTORIQUE DE RUES
  47. HISTORIQUE DE RUES
  48. HISTORIQUE DE RUES
  49. HISTORIQUE DE RUES
  50. HISTORIQUE DE RUES
  51. HISTORIQUE DE RUES
  52. HISTORIQUE DE RUES
  53. HISTORIQUE DE RUES
  54. HISTORIQUE DE RUES
  55. HISTORIQUE DE RUES
  56. HISTORIQUE DE RUES
  57. HISTORIQUE DE RUES
  58. HISTORIQUE DE RUES
  59. HISTORIQUE DE RUES
  60. HISTORIQUE DE RUES
  61. HISTORIQUE DE RUES
  62. HISTORIQUE DE RUES
  63. HISTORIQUE DE RUES
  64. HISTORIQUE DE RUES
  65. Historique de rues
  66. Historique de rues
  67. Historique de rues

Page 1 sur 4

  • Début
  • Précédent
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • Suivant
  • Fin
Info gérérales
manifeste medias beaumont helie
Fleuriste Marie Vermette

Chez Lévêque
Pizza No900 Ville de Mont-Royal Ville de Mont-Royal journal d'outremont
 

Station Mont-Royal

  • Nouvelles
  • Opinions
  • Restos-Les matins
  • Restos-Les midis
  • Restos-Les soirs
  • Immobilier
  • Ville de Mont-Royal
 

Pour nous contacter

T. 514 276-0386
F. 514 273-9660
 
Station Mont-Royal
C.P. 48579, CSP Outremont,
Outremont (QC) H2V 4T3
 
info@stationmontroyal.com
 

Infolettre

Recevez votre journal gratuitement chaque semaine.
Abonnez-vous à l'infolettre!

Station Mont-Royal est un journal hebdo en ligne traitant d'actualités et de cultures pour la communauté de Ville de Mont-Royal.

Une publication papier trimestrielle est distribuée à chaque porte de la Ville de Mont-Royal.

 

Éditeur : René Soudre
Assistante-éditrice :
Hélène Côté
Collaborateurs : Julie Turgeon, Michel Joanny-Furtin, René Soudre, Janine Saine, Viktor Lavoie, Emmanuelle Beaubien
Photos et vidéos : Marili Soudre-Lavoie
Administration : Hélène Lavoie
Ventes : Lucie Côté, René Soudre

© Station Mont-Royal 2015
Haut