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Nabih Srour, plus qu’un artiste du dimanche

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VIE CULTURELLE
Publication : 23 septembre 2020
Par Julie Turgeon

À la fin des années 60, dans le 5e arrondissement de Paris, Nabih Srour vendait ses dessins à l’encre de Chine sur le trottoir de la très animée rue Mouffetard, autour de 30 francs l’oeuvre, soit environ 7 $. [...]

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Nabih Srour, plus qu’un artiste du dimanche

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VIE CULTURELLE
Publication : 23 septembre 2020
Par Julie Turgeon

PHOTOS STATION MONT-ROYAL

À la fin des années 60, dans le 5e arrondissement de Paris, Nabih Srour vendait ses dessins à l’encre de Chine sur le trottoir de la très animée rue Mouffetard, autour de 30 francs l’oeuvre, soit environ 7 $.

« C’était un challenge que je m’étais lancé. À l’époque, j’étudiais en finances, mais je faisais l’artiste du dimanche et ça m’amusait beaucoup », raconte le membre d’Arttram depuis une dizaine d’années.

Issu d’une famille nombreuse de huit enfants, l’homme de 75 ans se rappelle très bien son enfance, toujours entouré de pinceaux, de tubes et de palettes de couleurs, alors que l’un de ses frères faisait l’Académie libanaise des beaux-arts.

« J’aimais beaucoup ça », dit-il. Mais voilà, « ma mère m’a influencé, le jour où elle m’a dit que l’on n’avait pas besoin de plusieurs artistes dans la famille. »

Les colonnes de chiffres devenues finalement son lot quotidien, Nabih Srour parle aujourd’hui de ce qui était sa carrière d’expert-comptable dans le secteur pétrolier, comme d’un métier qui n’avait rien à voir avec ce qu’il aimait faire dans la vie. Un sous-entendu à sa passion pour les arts, somme toute.

Or ce boulot aura eu du bon. Ne serait-ce que pour tous ses séjours d’affaires en Afrique, au Moyen-Orient, en Europe et en Amérique. De fait, partout où il y avait un musée ou une exposition, « j’y étais », souligne-t-il, en ouvrant rapidement une parenthèse sur son côté dénicheur. « Ma femme et moi avons accumulé beaucoup d’antiquités au fil du temps… Des objets qu’aucun de mes enfants ne veut ! », s’amuse le collectionneur, qui est aussi un fier amateur d’art canadien depuis son arrivée au pays il y a 32 ans. « J’ai trois tableaux de Tatossian », dit-il.

Fana d’arbres
Résidant de Ville Mont-Royal depuis près de 15 ans, Nabih Srour suit des cours d’art au Centre des Loisirs depuis plusieurs années maintenant. Il y a des professeurs à qui il doit beaucoup, de son propre aveu, encensant au passage Marie-Lyne Veilleux, Nadine Bourgeois et Jocelyne Lambert notamment.

Son médium de prédilection en ce moment? L’aquarelle à cause de sa spontanéité, laisse-t-il savoir, en indiquant que plus ça va, moins il utilise de couleurs.

« L’abstraction de la nature », serait l’expression qui résume le mieux son style par les temps qui courent. « J’aime les arbres; et pour moi, les arbres, c’est une sculpture de la nature », laisse-t-il tomber d’un ton lyrique. « Ce que je fais souvent, c’est que je vais me balader dans les bois, je prends des photos. Beaucoup de photos. Puis je reviens à la maison; ça me travaille pendant quelques jours; et je jette sur un papier. »

L’utilisation du papier Yupo, fait de matière plastique, entièrement lisse et imperméable, est par ailleurs un support qui le fascine, vu que le rendu final n’est pas instantané.

L’artiste qui travaille environ 20 heures par mois sur ses oeuvres — parce qu’avoir huit petits-enfants, ça demande du temps, dit vendre tout juste assez de toiles pour payer son matériel. « En fait, j’ai beaucoup d’admirateurs dans la famille, donc je donne ! »

Comme plusieurs autres artistes québécois, Nabih Srour a offert quelques-unes de ses toiles à la Fondation Lebanese Children’s Fund (LCF), suite à l’explosion au port de Beyrouth, début août. L’argent amassé par la vente d’oeuvres d’art a pour but de soutenir les familles dans le besoin au Liban.

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Le Vietnam en vedette à VMR

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VIE CULTURELLE
Publication : 14 septembre 2020

L’équipe du Centre culturel vietnamien de Ville Mont-Royal a su ficeler un beau programme cette année, malgré les contraintes, pour leur 2e édition de la Semaine culturelle vietnamienne. Peinture, bande dessinée, cinéma, cirque et gastronomie sont à l’honneur !

Les nénuphars de Anh-Tu Hoang.

La Semaine culturelle vietnamienne s’ouvrira le 26 septembre prochain, avec l’exposition Xanh/Bleu sur les murs de la bibliothèque Reginald-Dawson. Xanh est une couleur (parfois bleu, parfois vert dépendant du contexte), « qui se trouve souvent dans les peintures des artistes représentant les paysages vietnamiens », explique la présidente du Centre culturel, Kim Phuong Nguyen.

À voir cet automne: les oeuvres des peintres Anh Tu Hoang, du 26 septembre au 23 octobre et Tatum Lê Thuân, du 23 octobre au 20 novembre.

Aux mordus de BD
Le 27 septembre prochain se tiendra la rencontre Mémoires de Việt kiều, de 14h à 17h, chez Dupond et Dupont, avec les bédéistes Daniel Ha, Djibril Morissette-Phan et Camilla Hoang.

L’après-midi sera animé par Mathieu Forget, de l’organisme Québec BD, et ce sera l’occasion d’en apprendre un peu plus sur les différents genres en bande dessinée, tels que le comic book, la vulgarisation scientifique ou encore les mangas.

« Mémoires de Việt kiều », qui veut dire mémoires de la diaspora vietnamienne, est en fait un titre d’album du bédéiste Clément Baloup. Ce Marseillais d’origine vietnamienne, qui était au programme, devra briller par son absence vu la situation avec les frontières.

Pour les cinéphiles
Dans le confort de son foyer, il sera possible de visionner gratuitement deux documentaires sur le site web du Centre culturel vietnamien, pendant la semaine culturelle.

Il s’agit de Finding the Virgo de Barre Fong, soit l’histoire vraie de la productrice américaine Lauren Vuong, qui part à la recherche du capitaine l’ayant secourue en mer, elle et sa famille ainsi que 57 autres immigrants, dans les années 80, alors qu’elle avait sept ans.

Aux amateurs de road movies, Made in Vietnam de Thi Vo relate, quant à lui, l’histoire d’un Canadien d’origine vietnamienne, qui part à la recherche de son père au Vietnam, après 30 ans sans nouvelles, avec que comme simples pistes, une vieille photo d‘enfance et une adresse d’un ami de la famille.

Sous la clarté lunaire
Sous la clarté lunaire est le thème de la semaine culturelle, ainsi que de la soirée de clôture du 3 octobre, fait référence à la fête de la mi-automne ou fête de la lune, Tết Trung Thu chez les Vietnamiens.

La soirée s’annonce festive et complètement cirque, avec les artistes Laurence Tremblay-Vu, funambule, Érika Nguyen, acrobate, Jimmy Gonzalez, jongleur et Bao An Hoang, magicien.

La gastronomie sera aussi à l’honneur, et on promet une atmosphère animée telle qu’on en trouve dans une rue de Saigon.

Ça se passe à la Scena du Pavillon Jacques-Cartier, dans le Vieux-Port de Montréal, mais comme tout est incertain dans notre nouvelle société sans visage, il est fortement recommandé de vérifier tous les détails des activités sur le site du centreculturelvietnamien.ca.



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Le Vietnam en vedette à VMR

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VIE CULTURELLE
Publication : 14 septembre 2020

L’équipe du Centre culturel vietnamien de Ville Mont-Royal a su ficeler un beau programme cette année, malgré les contraintes, pour leur 2e édition de la Semaine culturelle vietnamienne. Peinture, bande dessinée, cinéma, cirque et gastronomie sont à l’honneur ! [...]

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Artistes dans le parc

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VIE CULTURELLE
Publication : 13 août 2020
Par Le Journal Station Mont-Royal

PHOTOS LE JOURNAL STATION MONT-ROYAL

Le très polyvalent parc Connaught devient galerie d’art à ciel ouvert pour une dernière fois dimanche le 16 août, le temps d’une exposition des artistes membres de ArtTram. Les artistes exposent à divers endroits dans le parc.

Le journal Station Mont-Royal a visité les lieux.

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Artistes dans le parc
Parc Connaught (voir carte)
Dernier jour d’exposition 16 août
14h à17h
Entrée gratuite
Info : info@arttram.org | facebook.com/events/1504847023019525



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Artistes dans le parc

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VIE CULTURELLE
Publication : 13 août 2020
Par Le Journal Station Mont-Royal

Le très polyvalent parc Connaught devient galerie d’art à ciel ouvert pour une dernière fois dimanche le 16 août, le temps d’une exposition des artistes membres de ArtTram. Les artistes exposent à divers endroits dans le parc. [...]

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« Artists in the Park » au parc Connaught

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VIE CULTURELLE
Publication : 29 juillet 2020
Par Le Journal Station Mont-Royal

Le très polyvalent parc Connaught devient galerie d’art à ciel ouvert mercredi le 29 juillet, dimanche le 2 août, mercredi le 12 août et dimanche le 16 août, pour une exposition des artistes membres de ArtTram.

Les marguerites, de Jocelyne Koss.

Les artistes exposeront à divers endroits dans le parc.


« Artists in the Park »
Parc Connaught (voir carte)
29 juillet, 2 août, 12 août, 16 août
14h à 17h
Renseignements : info@arttram.org / www.facebook.com/events/1504847023019525



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« Artists in the Park » au parc Connaught

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VIE CULTURELLE
Publication : 29 juillet 2020
Par Le Journal Station Mont-Royal

Le très polyvalent parc Connaught devient galerie d’art à ciel ouvert mercredi le 29 juillet, dimanche le 2 août, mercredi le 12 août et dimanche le 16 août, pour une exposition des artistes membres de ArtTram. [...]

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LA CRÉATION EN TEMPS DE PANDÉMIE

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VIE CULTURELLE
Publication : 17 juillet 2020
Par Julie Turgeon

La pandémie n’aura pas eu raison de tout. L’inspiration de ces deux artistes peintres, membres d’Arttram, ne s’est pas tarie pendant le confinement. Même que ce « Québec sur pause » a plutôt été un bon temps pour elles, pour essayer de nouvelles choses ! Pleins feux sur Rosalind Abensur et Jaya Perrier.

Rosalind Asenbur est membre de Artram (Table ronde sur l’art à Ville Mont-Royal).
creation2Œuvre de Jaya Perrier. PHOTOS JOURNAL STATION MONT-ROYAL ET ET SITES WEB DES ARTISTES

ROSALIND ABENSUR
L’arrivée du printemps s’annonçait grandiose pour Rosalind Abensur. Mais comme beaucoup, la semi-retraitée a vu son programme chamboulé, avec un voyage en Espagne écourté et « une épopée pour rentrer à Montréal ».

 

Traductrice de carrière mais artiste peintre de coeur, elle s’est alors rabattue sur un journal de confinement. Un carnet rempli d’esquisses datées, qui, selon les jours, sont parfois plus sombres, parfois plus gaies. On s’imagine bien que ces « choses réalisées très rapidement », comme elle raconte, ne font aucunement abstraction de l’actualité.

« Avec tout ce désarroi, c’était comme une discipline pour moi, de faire quelque chose tous les jours », affirme Rosalind, membre d’Arttram depuis quatre ans. Son projet de journal aura finalement duré pratiquement un mois, le temps d’achever son cahier, en somme.

Il faut savoir que Rosalind Abensur a commencé à peindre à l’âge de 12 ans. À l’époque son père l’avait inscrite à un cours de peinture classique à Casablanca, sa ville natale. Elle peignait à l’huile dans ce temps-là. Mais une fois arrivée au Canada avec sa famille, à l’âge de 16 ans, elle s’est mise graduellement à l’acrylique.

Elle a suivi plusieurs cours de peinture tout au long de sa vie. Un atelier avec Seymour Segal notamment, un artiste peintre montréalais, « connu pour son approche iconoclaste », dans ses mots. Mais depuis 2007, c’est à l’Atelier du geste, situé sur l’avenue du Parc, qu’elle trouve son bonheur.

Sauf que c’est fermé depuis des mois. Et « c’est dur de se motiver sans les autres qui te nourrissent de feed-back », confie-t-elle. Donc à l’instar de ceux qui ont trouvé un peu de vie sociale en prenant l’apéro sur la plateforme Zoom ce printemps, Rosalind, elle, a trouvé une compagne pour peindre virtuellement.

« On peint chacune chez soi », dit-elle. « Voyez, cette acrylique, ici, je l’ai faite avec Francine. C’est sorti comme ça. Comme un peu un portrait d’un homme. Moi, ce qui me réussit, c’est la spontanéité! Ne pas me mettre de barrières. Les gens vont dire ouais, tu peux faire ce que tu veux avec l’art abstrait. Mais moi je crois qu’il faut quand même qu’il y ait un message… » Aux contemplateurs de le découvrir.

JAYA PERRIER
Malgré le fait que ses enfants de 6 et 8 ans « ont tout le temps faim ! », dit-elle en riant, l’artiste-peintre Jaya Perrier trouve toujours un moment pour sortir ses pinceaux.

Née à Lucknow, dans le nord de l’Inde, Jaya a grandi dans une famille artistique, auprès d’une mère hyper créative. « Je l’ai toujours vu peindre, raconte-t-elle, alors que moi j’ai toujours dessiné lorsque j’étais jeune. »

En fait, cela ne fait que trois ans que cette consultante en actuariat s’est mise à la peinture à l’huile. « J’aurais aimé en faire avant mais le temps manquait et lorsque j’ai eu l’appel, je ne savais pas par où commencer. »

Des cours en ligne, donnés par la peintre américaine, basée au Kentucky, Dreama Tolle Perry, seront finalement sa bougie d’allumage.

Aux Bermudes — où elle a habité pendant 12 ans, Jaya a vite concrétisé sa nouvelle passion. Outre une série d’expositions, la peintre impressionniste passait aussi tous ces dimanches à peindre en plein air, avec un groupe d’artistes, tous styles confondus. « Ça me manque vraiment ces rassemblements en nature », confie celle qui est arrivée à Ville Mont-Royal en plein mois de janvier il y a un an.

Avec les nouvelles règles de distanciation, elle croit que ce serait vraiment une bonne idée de reproduire cette activité dans sa communauté. Idée qu’elle ne manquera pas de soumettre au prochain conseil d’administration d’Arttram, alors qu’elle y siège comme membre bénévole depuis quelques semaines.

Lorsqu’on lui demande comment elle a vécu le confinement, artistiquement, Jaya n’hésite pas à dire qu’elle s’ennuie vraiment de l’atelier de modèles vivants qu’elle suivait au Centre des Loisirs.

Or, ce temps de pause a aussi été une « bonne chose » selon elle, puisqu’elle a pu prendre le temps d’expérimenter de nouveaux sujets. « Je découvre les portraits et les intérieurs depuis quelques semaines. Je joue avec les couleurs, les mélanges d’ombre et de lumière…j’adore ça! »

Quand on lui fait remarquer que tout est coloré, gai, et rempli de fleurs dans ces peintures, elle rigole, et y va d’un « je sais que ça peut paraître cheesy, mais je suis vraiment une personne heureuse et je crois que ça se traduit dans mes peintures. En fait, plus que ça, je veux que les gens soient heureux lorsqu’ils regardent mes oeuvres. »



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LA CRÉATION EN TEMPS DE PANDÉMIE

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VIE CULTURELLE
Publication : 17 juillet 2020
Par Julie Turgeon

La pandémie n’aura pas eu raison de tout. L’inspiration de ces deux artistes peintres, membres d’Arttram, ne s’est pas tarie pendant le confinement. [...]

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Éditeur :René Soudre
Assistante-éditrice : Hélène Côté
Collaborateurs : Julie Turgeon, Viktor Lavoie, Emmanuelle Beaubien, Carla Geib
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Administration : Hélène Lavoie
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